Même les LGBT censurent l’affiche «L’inconnu du lac» !

Ils n’assument pas complètement. Les quelques militants LGBT qui se sont rassemblés mercredi devant la mairie de Saint-Cloud pour dénoncer la décision du maire UMP de faire retirer des panneaux de la ville les quatre affiches pornographiques – on y voit au second plan un homme faire une fellation à un autre homme – du film porno-gay L’inconnu du lac prenaient bien soin de ne pas montrer la scène en question aux journalistes qui couvraient leur manifestation.

Pour rappel, voici l’affiche du film :

Les militants LGBT, eux, préfèrent s’afficher seulement avec la scène de premier plan, qui montre deux hommes s’embrasser sur la bouche, ainsi que le montrent ces captures d’écran tirées du film réalisé mercredi par Line Press :

À chaque fois, la scène de fellation est coupée !

Il ne faudrait quand même pas passer pour des pervers favorables à ce type de scènes dans l’espace public…

Si même les militants homosexuels se mettent à censurer l’affiche L’inconnu du lac !

Lire aussi :
> Saint-Cloud : les extrémistes LGBT remettent ça / Rdv devant la mairie dimanche dès 13h30

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68 Comments

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  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 09 min

    Mon pauvre – je reprends votre vocable et vous l’applique. Le Code civil d’origine définissait le mariage et sa condition sexuée de base, mais quand la puissance maritale a cédé le pas, cette condition n’a plus été reprise. Une évidence de toute façon, comme de dire la nuit succède au jour (ou l’inverse). Un enfant cela se fait selon des données biologiques incontournables. Vous pouvez en tout cas vous reporter utilement au Discours préliminaire, qui définit sans ambiguïté le mariage, société entre l’homme et la femme. On ne revendique aucune “égalité”, aucun “droit”, quand on refuse, eu égard à ses moeurs sexuelles, d’avoir commerce avec l’autre sexe, qu’on refuse donc le “devoir” correspondant, celui de procréer. Procréer naturellement, évidemment. On ne veut pas copuler avec l’autre sexe (quelle horreur !), mais on achète de quoi éventuellement faire un enfant. Moi, j’appelle cela (et toute personne sensée aussi) réclamer un droit à l’enfant. Le droit est appelé à couvrir ce que la science, dévoyée, permet depuis peu – car bien sûr, s’il n’était pas possible de procréer artificiellement, aucune “égalité” ne serait réclamée. Les homos qui veulent des enfants “entre soi” ne constituent pour autant aucune famille. Et c’est bien une exception (l’AMP – PMA et demain GPA) pour les couples, que les paires réclament pour elles, qui devient un principe. Là encore, tournicotez cela comme vous le voulez : un mâle + un mâle, cela peut peut-être élever un petit, mais cela ne peut pas en faire un (vaut pour femelle + femelle, et donc pour les mammifères que nous sommes, aussi). Le relativisme prétend qu’un homme c’est pareil qu’une femme, qu’un enfant peut donc sinon être fabriqué par parthénogenèse ou clonage (pas encore), du moins être ensuite élevé par n’importe quels “parents” (d’ailleurs pourquoi 2 seulement ?). Souffrez que l’écrasante majorité des Français s’inscrive en faux, en ce jour de Fête des Pères. La famille “homoparentale” ab initio = extrêmement rare en France (à ne pas confondre avec la famille recomposée à variable “parent homo”, après coming out), et totalement artificielle. Donc, si l’argument-massue est “cela existe”, les stats sont plutôt contre vous pour bouleverser pour cette raison tout le droit civil de la famille. Les familles incestueuses aussi cela existe, avec enfants procréés entre adultes consentants. Doit-on marier les intéressés ? La filiation des enfants en cause est établie d’un seul côté, “ordre public” oblige. La prohibition de l’inceste est large, qui s’étend à l’alliance. Cas actuellement d’un mariage possible avec dispense, mais impossible selon décision d’un pouvoir qui par ailleurs “marie” les paires stériles. Un monsieur avec un fils d’une union précédente se remarie, fait une fille à sa nouvelle conjointe, puis divorce. Son ex-femme se rapproche (beaucoup) de son ancien beau-fils, et veut l’épouser. Les deux intéressés n’ont aucun lien de parenté, et pourtant ne peuvent se marier (car alliés, par la fillette – si le mariage se faisait, le marié deviendrait le beau-père, le parâtre, de sa demi-soeur..). Petite anecdote, non pas “relativiste”, mais sans doute “relative”. Quant au pourcentage d’homos, 6 % (?), on s’en fiche, car c’est de mariage d’homos qu’il est question, et non de toute une “communauté” (difficile à évaluer). Et là, au maximum, il y aura quelques milliers de “mariages” de paires. Au début, parce que c’est nouveau et rigolo. Et puis cela se tassera, car la fidélité n’est pas la caractéristique principale de cette faune. 60.000 PaCS depuis 1999, dont un grand nombre terminés. Pour satisfaire une frange minuscule de minorité très minoritaire, les idéologues au pouvoir qui veulent détruire la famille en général, en bons orwelliens qu’ils sont, auront détruit une bonne partie du droit civil. Car, oui, la sexualité en droit civil : AUCUNE PLACE, justifiable. Toujours autant de “fautes de frappe”….. Par ailleurs, NdF est sans doute un des très rares sites où on peut s’exprimer librement. Les sites de la bien-pensance n’admettent absolument rien qui aille “à contre-courant” – je le sais, j’ai essayé avec une opiniâtreté remarquable (par le nombre de “comptes “successifs). Je sais argumenter – personne ne le fait ici comme moi, absolument personne. En droit. Et c’est justement pour cela que j’ai été censurée avec tant d’acharnement ailleurs. Beaucoup plus dérangeant que l’appel au religieux, ou au moins au moral ! Moi, je n’en ai pas besoin.

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 18 min

    Remarque valant hélas pour beaucoup !

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 18 min

    Sur l’orthographe ! Toujours aussi hasardeux de “répondre”.

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 33 min

    Le mariage n’est pas naturel certes, mais il y a un contrat de société entre Etat et mariés. Les avantages accordés par le premier correspondent à la tâche majeure de remplacement des générations que prennent en charge les seconds On va faire simple : 2 homos ensemble ne peuvent en aucun cas remplir ce rôle. Le mariage ne les concerne donc pas. Pour autant, ils peuvent s’aimer et mener la sexualité à leur goût sans entraves légales (comme les adultes partouzeurs, ou incestueux volontaires, par exemple). Ne pas mélanger les choses. Ainsi donc, s’insurger contre une “obscénité” quasi invisible sur une affiche, c’est se faire moraliste, à contre-temps. Et ce n’est pas mieux que de réclamer le droit de se marier, sans pouvoir remplir la finalité de l’institution. Le mariage ne doit plus être un instrument de promotion sexuelle : il faudra abroger !

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 43 min

    Si c’est à moi que cette charmante apostrophe (indirecte) s’adresse, je n’ai pas un vocabulaire “dense”, mais précis. J’ai enseigné le droit civil de la famille – je sais donc de quoi je parle.

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 50 min

    Pour votre gouverne, et mettre à mal définitivement cette légende urbaine qui renforce la victimisation dont raffolent les invertis : de 1942 à 1982, l’homosexualité entre adultes consentants n’a pas été touchée d’une virgule, licite (depuis 1791) parce que non interdite par le droit pénal. Pendant 40 ans, il y a eu une majorité sexuelle spécifique pour les invertis, qui se confondait avec la majorité civile. Pas du tout pareil ! Donc, de 21 ans, elle est passée mécaniquement à 18 en 1974. La majorité “hétéro” était elle à 15 ans – âge parfaitement logique car celui de la nubilité pour les femmes (n’a changé qu’en 2006 – aligné sur celui de la majorité civile) !

  • monhugo , 16 juin 2013 @ 21 h 57 min

    Sur le “service rendu”, ne jouez pas stupidement sur les mots. Quand il est question de succession (et donc d’avantages à cet égard pour le conjoint survivant), les enfants sont nés, en général ! Modèle du mariage : la société avantage 2 étrangers en ne les considérant plus tels parce qu’ils PEUVENT assurer la relève des générations : H/F. Les fines remarques sur les exceptions statistiques (mariages tardifs avec épouse ménopausée, mariages stériles par choix ou malédiction) sont sans intérêt, qui ne remettent en aucun cas le principe en cause. La plupart du temps, mariage = postérité. Avec le “mariage” entre invertis, 0 postérité. Sacrément différent.

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