« Il sodomise un vieil homme pour l’euthanasier sous les yeux de son bébé »

L’art dégénéré ne connait plus aucune limite dans l’obscénité la plus abjecte. Subventionné à hauteur de 129.000 € par la région Languedoc Roussillon Midi Pyrénées (c’est à dire avec l’argent du contribuable), Rester Vertical du réalisateur Alain Guiraudie ( L’inconnu du lac) fait frémir de plaisir la fange gaucho-bobo qui se presse au festival de Cannes.

Figaro: “Guiraudie, qui avait fait sensation en 2013 à Cannes avec L’Inconnu du Lac, montrant de manière décomplexée des ébats dans des lieux de dragues homosexuelles, n’hésite pas à filmer en direct un accouchement, des sexes féminins et masculins filmés au plus près, ainsi qu’une sodomie avec un mourant sur fond de musique planante.”

Midi Libre: « Accouchement et sexe féminin filmés au plus près, sodomie avec un mourant : premier Film français en compétition, et premier choc sur la Croisette, Alain Guiraudie a présenté jeudi 12 mai Rester Vertical, un film cru et onirique dans la France rurale. »

Culture Box : « Léo et Marie vivront ensemble, quelque temps. Marie tombera enceinte. Accouchera. Accouchement auquel le spectateur est contraint d’assister dans sa totalité. Puis Marie s’en ira, quelques instants après avoir tenter de le masturber sans grand succès. Pour garder sa compagne, rester vertical, semble vouloir nous dire Guiraudie avec malice. Et Léo de poursuivre ses pérégrinations, collé à son bébé, jamais bien loin quand il vivra de soudaines expériences homosexuelles. »

Alain-Guiraudie-staying-vertical-rester-verticale

Source

Synopsis : Léo est à la recherche du loup sur un grand causse de Lozère lorsqu’il rencontre une bergère, Marie. Quelques mois plus tard, ils ont un enfant. En proie au baby blues, et sans aucune confiance en Léo qui s’en va et puis revient sans prévenir, elle les abandonne tous les deux. Léo se retrouve alors avec un bébé sur les bras. C’est compliqué mais au fond, il aime bien ça. Et pendant ce temps, il ne travaille pas beaucoup, il sombre peu à peu dans la misère. C’est la déchéance sociale qui le ramène vers les causses de Lozère et vers le loup.

Related Articles