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Contactés par Paris Match, plusieurs proches ont confirmé que la nuit d’ivresse du 4 avril n’était pas un cas isolé. « Ces dernières années, il ne mangeait plus, il buvait beaucoup. Je l’ai vu assez odieux en fin de soirée », a raconté l’écologiste Pierre Serne. « Il porte haut, mais il a au compteur quelques scènes peu brillantes de fins de soirées trop alcoolisées. C’est un joli gâchis », a ajouté Jean-Luc Bennahmias, le président du Front démocrate. Comme le précise Paris Match, ce penchant pour la bouteille et son comportement lui avaient déjà fermé les portes de Castel, un célèbre établissement des nuits parisiennes, où il était persona non grata depuis deux ans.
Il n’y a pas que chez Castel que Jean-Vincent Placé aimait faire la fête. Paris Match révèle une étonnante anecdote survenue dans un autre club parisien, situé près de la place de l’Étoile. Cette nuit-là, Jean-Vincent Placé a oublié de régler la note en partant. Et on ne parle pas d’un demi de bière : l’ex-sénateur avait commandé trois magnums de champagne (4,5 litres au total, donc), soit une ardoise à 3300 euros. Comme le raconte le magazine, le patron de l’établissement, accompagné d’un de ses serveurs, avait dû le « [pister] dans un restaurant de nuit pour l’obliger à honorer sa dette ».
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