André Loriot travaille aux Laboratoires de Psychochimie, dont le slogan publicitaire, « La bonne humeur c’est la santé », permet d’écouler ces pilules de détente dont il a grand besoin aujourd’hui, sa journée s’annonçant assez mal. Après l’euphorie du réveil, la première contravention et l’embouteillage qui suit lui font manquer un rendez-vous urgent pour l’échange de son logement, qui lui permettrait enfin d’épouser Juliette…