La féministe Clémentine Autain remise en place sur Twitter

Eric Martin
14 janvier 2016
Latest Update: 28 août 2018 12 h 06 min
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Il ne faut pas s’étonner que les féministes soient systématiquement dans le déni, elles qui pensent sérieusement que l’enfant fait partie du corps de la femme donc peut être avorté alors qu’il s’agit d’un être humain distinct digne de respect.

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orldiabolo , 14 janvier 2016 @ 17 h 23 min
Merveilleuse réponse de Nicolas Reynès !…
von reisner , 14 janvier 2016 @ 17 h 55 min
Les pépins de la Clémentine…
En quoi les crimes de ces soldats (dont beaucoup de “chair à canon de première ligne” issue des républiques islamiques de l’empire soviétique), excuseraient-ils ceux des gentils migrants d’aujourd’hui… délicieuse Clémentine ?
Décidément la gauche ne cessera jamais de nous surprendre !
Marcus , 14 janvier 2016 @ 17 h 56 min
Excellente réponse, en effet. Il y a encore des gens instruits, et ça fait plaisir.
sergio , 14 janvier 2016 @ 18 h 30 min
Que n’ était-elle pas à Cologne le soir de la St Sylvestre !….elle aurait expérimenté les joies du vivre-ensemble ….avec des barbares !
Pascal , 14 janvier 2016 @ 18 h 57 min
Elle a déjà donné mais elle souffre du syndrome de Stockholm.
Charles , 14 janvier 2016 @ 19 h 39 min
Un gentil clandestin à Cologne se vante d’avoir mis la main sur une vierge.
Ils s’y sont mis à 8 contre elle…

https://www.youtube.com/watch?v=PkpzX7CLZzc
Vautrin , 14 janvier 2016 @ 21 h 17 min
Bécassineueu, c’est la cousineueu de Clémentineueu…
Sacrés gauchistes, sacrées féministes, sacrées castes, tout ce monde dément pris dans le piège de la double contrainte, ou pour parodier Rodrigue :
“réduits au triste choix ou de trahir les femmes
Ou de vivre en infâme” (i.e. : taxés de racîîîîsme)
Ils souffrent de névrose conditionnée, comme les chiens de Shenger et Krestovnikova. Ça piaille, ça soupire, ça écrit n’importe quelle insanité. Ils en sont là, à mordre le clavier ou le micro.
Comme ça ne se guérit pas, le mieux serait l’euthanasie (Ah, j’oubliais que je suis contre. Mais des fois je me dis que…)