Le Parisien de jeudi rapporte que le groupe Casino, via ses différentes enseignes (Franprix, Leader Price, Casino, Vival, Spar, Monoprix qu’il détient à 50%…), détient 60% de la surface commerciale alimentaire de la capitale. Dans certains quartiers (porte Dauphine, Madeleine, Villette…) c’est même 80%. Ce déficit de concurrence a pour conséquences des prix en moyenne 10% plus élevés qu’ailleurs sur les produits de marques nationales, notamment chez Franprix. Questionnée il y a un an par la Ville de Paris, l’Autorité de la concurrence ne relevait mercredi dernier “aucun abus” même si l’omniprésence de Casino constitue selon elle “un obstacle à la concurrence”.
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