Eric Zemmour répond au CSA par ce message sur Instagram :
Pendant que le CSA veut mettre fin à mon émission sur CNews, des procureurs dont le temps de parole n’est pas comptabilisé déversent tranquillement leur propagande sur le service public avec les impôts des Français.
Eric Zemmour, censuré comme seule une dictature pourrait le faire face à un journaliste politique aurait pu accuser le CSA, ce sinistre Conseil Supérieur de l’Audiovisuel d’être devenu le ministère de la propagande.
Le pouvoir en a rêvé, le CSA l’a fait. Le CSA nous contraint à arrêter l’émission. Ci-gît le débat public. C’est un autre Instagram de l’auteur de « La France n’a pas dit son dernier mot ». Nul doute que cette publicité gratuite va faire bondir les ventes de cet ouvrage. Mais que pensez de ce CSA qui, sur son site, donne en trois verbes son programme : « informer, protéger, arbitrer » ?
Très clairement, cet organisme qui emploie 300 collaborateurs à ne rien faire d’autre que de surveiller façon police secrète, est un outil majeur du pouvoir. Si les différents occupants de l’Élysée avaient fait un usage modéré de leur mainmise sur ce Conseil dont la création remonte à janvier 1989, voilà la preuve qu’Emmanuel Macron use de son influence pour orienter ses décisions.
Cette censure fait à CNEWS montre à quel point l’Élysée craint la montée en puissance de ce candidat hors norme et encore non déclaré. Si le dernier sondage Ipsos donne 19% au candidat Zemmour, Macron ne serait plus certain de l’emporter face à Marine Le Pen.
Zemmour lui enlève le candidat frontiste qui lui permettrait de retrouner à l’Elysée en 2022.
Une explication peut-être simpliste, mais qui a le mérite d’expliquer cette censure digne d’une dictature communiste.
Floris de Bonneville