Il paraît que pour être examinée par le Président de la République, une pétition lui étant adressée doit totaliser au moins 500 000 signatures, ce qui semble assez logique. Mais alors comment se fait-il qu’une pétition contestant le projet de statut de la première dame et n’ayant réuni que 200 000 signatures a aussitôt amené le gouvernement à modifier le projet initial ?
Il ne serait plus question de « statut » mais d’une « charte de transparence», ce qui ne veut rien dire. Les pétitionnaires s’opposent à tout budget qui serait alloué à l’épouse du président à l’heure où la France souhaite « faire des économies et moraliser la vie politique ». Probablement suscitée par les opposants politiques au gouvernement, cette pétition n’est rien d’autre qu’un monument d’hypocrisie. Nul n’ignore que la « Première Dame», qu’elle qu’elle soit, a toujours disposé d’un secrétariat à l’Élysée, tout simplement parce que les Français, et surtout les Françaises, aiment beaucoup écrire à l’épouse présidentielle, sans doute parce qu’ils supposent qu’elle sera plus accessible à leurs desiderata et en touchera deux mots à son président de mari. Imagine-t-on un instant que la co-locataire de l’Élysée puisse mépriser ce courrier et le jeter à la poubelle parce qu’elle n’aurait pas les moyens de l’analyser, et dans certains cas d’y répondre ? Ce serait finalement l’image du président lui-même qui sortirait dégradée de ce manquement. Car cette correspondance n’est rien d’autre qu’une manifestation légitime de la démocratie. On affirme dans les couloirs de l’Élysée que Brigitte Macron a reçu en trois mois autant de lettres que Valérie Trierweiler en une année.
J’estime pour ma part que la Première Dame de France doit avoir un statut clairement défini et une responsabilité officielle quoique non rétribuée.
Mais voyons maintenant les pétitions dont personne ne parle. J’emprunte les lignes suivantes à Jean-Marc Dupuis, animateur du site Santé Nature Innovation (Parlant des journalistes dissertant sur les causes de la baisse de popularité d’Emmanuel Macron) : « Aucun, je dis bien STRICTEMENT AUCUN, ne mentionne l’affaire des vaccins ! Ils ont “oublié”. Cela n’existe pas dans leur univers mental. Et pourtant, s’ils ouvraient les yeux, ils verraient que rien que ma propre pétition, moi qui ne suis pourtant jamais relayé par TF1 ou France-Info, a dépassé déjà 310 000 signatures. Il y a celle de l’Institut pour la Protection de la Santé Naturelle qui a dépassé les 640 000. Il y a celle de mon confrère Éric Mueller qui a dépassé les 400 000, ainsi que celle d’un autre rédacteur de notre équipe, Pierre Lance. »
En effet, ma propre pétition, qu’aucun média non plus n’a relayée, sauf notre cher Nice-Provence-Info, vient de dépasser les 70 000 signatures. Ainsi donc, la mobilisation générale contre la dictature vaccinale est près d’atteindre les 1 500 000 signatures, et cela en pleine période des vacances !
Que va-t-il se passer à la rentrée quand tout cela va s’amplifier et exploser à la figure d’Emmanuel Macron (qui pour le moment n’a pas encore dit un mot sur le sujet, le projet aberrant étant soutenu seulement par la ministre Agnès Buzyn et le Premier Ministre) ? Je vous le laisse deviner. Alors que le gouvernement sera aux prises avec les manifestations syndicales contre la réforme du code du travail, sera-t-il opportun d’y ajouter celles des nombreux partisans de la liberté vaccinale ? J’en doute fort !
Pierre Lance – Nice Provence Info
Si vous ne l’avez pas encore fait, merci de signer et diffuser ma pétition
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