Au Salvador, la triple peine pour une jeune femme : le viol, l’avortement et 30 ans de prison !

Les lobbies pro-mort et autres merdias occidentaux vont se servir de cette injustice pour faire pression en faveur de la légalisation de l’avortement. Rappelons-le, l’avortement est un crime de la femme mais surtout de la société (encore plus lorsqu’il y a eu viol) contre l’enfant à naître, innocent parmi les innocents. Oui à la sensibilisation, aux aides et à l’interdiction lorsque c’est possible, au moins comme objectif législatif dans les pays où l’acte est légal depuis longtemps (comme en France), oui à une répression sévère contre les médecins qui le pratiquent au mépris du serment d’Hippocrate, non à la double voire triple peine contre ces jeunes femmes déjà traumatisées par l’acte. Elles doivent être sanctionnées, au moins symboliquement, mais pas par des peines aussi lourdes que trente ans de prison :

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4 Comments

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  • charles-de , 13 juillet 2017 @ 19 h 41 min

    Je suis contre l’avortement en principe, mais là, dans ce cas, c’est VRAIMENT DEGUEULASSE !

  • Paule C , 13 juillet 2017 @ 23 h 43 min

    Je ne vois pas pourquoi une femme qui avorte à la suite d’un viol doit être “sanctionnée même symboliquement”. Elle n’est responsable en rien. Et je ne vois pas non plus pourquoi une femme enceinte à la suite d’un viol devrait en plus mener sa grossesse à terme. Ce serait là une double peine, pour une situation dans laquelle elle est une victime.

  • Ranguin , 14 juillet 2017 @ 8 h 04 min

    Je ne suis pas pour l’avortement de confort, mais dans ce cas, on devrait l’accepter.
    Pourquoi une femme violée devrait mener à terme l’enfantement et avoir toute sa vie, devant elle, le poids d’une faute qu’elle n’a pas commise.
    Le Salvador est l’exemple même d’une société machiste ! Pas plus évolué que les pays musulmans !

  • Parole , 14 juillet 2017 @ 8 h 51 min

    C’est dégelasse ça c’est sûr , surtout quand on sait comment fonctionne le gouvernement du Salvador ……

    Le Salvador est le deuxième pays le plus pauvre de la région.

    Le gouvernement de droite au pouvoir n’a rien fait pour sortir le pays de la misère et de la violence. Celle-ci constitue le problème nø 1 – avant le chômage qui dépasse pourtant les 20 % – avec un taux de criminalité parmi les plus élevés du monde : assassinats, agressions, enlèvements, attaques à main armées sont le lot quotidien et la hantise des Salvadoriens.

    http://www.humanite.fr/node/240038

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