Matteo Renzi, le nouveau président du Conseil italien, propose une révolution économique et politique pour son pays : diminution des impôts et des dépenses publiques, baisse de la pression sur les entreprises, suppression de 315 postes de parlementaires et tutti quanti. En gros, l’inverse de ce qui est fait en France, constate Nicolas Doze ce jeudi matin sur BFM TV qui juge cette politique “révolutionnaire”.
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