Alors que Marine Le Pen a annoncé mardi qu’elle disposait des 500 parrainages d’élus nécessaires pour se présenter à l’élection présidentielle, les autres candidats lui ont emboîté le pas. Philippe Poutou, représentant le Nouveau parti anticapitaliste a déclaré, au sujet de ses parrainages, que « ça devrait aller ». Nicolas Dupont-Aignan, le candidat souverainiste, a annoncé mardi après midi, dans un communiqué, qu’il disposait d’un nombre de signatures suffisant pour être « officiellement candidat à l’élection présidentielle ».
Outre Jacques Cheminade, qui s’invite également dans la course à la magistrature suprême, un autre candidat affirme disposer des 500 signatures nécessaires : il s’agit de François Amanrich, candidat du Mouvement clérocrate. Ce dernier prône l’utilisation du tirage au sort en lieu et place de l’élection. Il s’agit selon lui de la véritable démocratie : « la clérocratie ». Encore faut-il que le Conseil constitutionnel valide les signatures d’élus.