Participer au détournement de fonds publics, c’est très gratifiant et le suffisant Juppé en sait quelque chose, puisqu’après nombres d’honneurs et d’avantages, le voilà promu Sage, par la grâce de Ferrand, lequel n’est pas très clair aussi… entre pilleurs et magouilleurs, l’on s’entraide et l’on se comprend si bien… au nom des valeurs de la ripoublique. “Le meilleur d’entre nous” y retrouvera son camarade, Monsieur Sang contaminé dit Fabius…
Le 30 janvier 2004, Alain Juppé, président de l’UMP, fut condamné en première instance par le tribunal de Nanterre à dix-huit mois de prison avec sursis et à dix ans d’inéligibilité dans l’affaire des emplois fictifs du RPR et de la Mairie de Paris. Dans un rapport de mars 1999, la police a estimé qu’au total, les salaires versés par le conseil municipal de Paris au RPR concernant les emplois fictifs avoisinent 30 millions de francs.
L’ancien secrétaire général du parti de Jacques Chirac, voyant sa carrière politique s’effondrer, évoqua un « séisme » et décida de faire appel. Le 1er décembre 2004, la cour d’appel de Versailles réduisit sa condamnation à quatorze mois de prison avec sursis et à un an d’inéligibilité…
BFMTV a osé titrer “Alain Juppé tourne la page de 40 ans de politique”. S’il est bien un organe ultrapolitisé, c’est bien le Conseil constitutionnel.
D’aucuns louent ce “grand serviteur de la France”, lequel comme ses comparses n’a fait que se servir de la France.
En sus de toutes ses retraites de sangsue de la république , il y gagnera environ 15 000 euros de plus et profitant des privilèges afférents, va pouvoir y somnoler jusqu’à 82 ans.
Mitrophane Crapoussin