Nathalie Saint-Cricq en plein maccharlysme : “Il faut repérer et traiter ceux qui ne sont pas Charlie”

85 Comments

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  Franchouillard , 14 janvier 2015 @ 10 h 14 min

  Je cherche fissa le commissariat ou la gendarmerie les plus proches.
  Je l’avoue, j’ai commis un crime horrible.
  J’ai refusé de me joindre aux incantations de ceux qui ont pratiqué le plus grand détournement d’émotion de notre histoire récente.
  Non
  je ne suis ni ne serai jamais charlie.
  Que toutes les victimes de la barbarie islamiste à Paris, en France et à travers le monde reposent en paix.
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  hermeneias , 14 janvier 2015 @ 10 h 15 min

  Euh Pascal

  post républicaine ou républicaine ?
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  trahi , 14 janvier 2015 @ 10 h 17 min

  Sainte cricquette, priez pour nous, qui ne sommes pas “charlie”, mais bien Francais de sang, de racines et de patriotisme!!!!!
  Fallait vous en occuper AVANT de vos islamistes radicaux qui ont “pondu” dans tous les coins de la basse cour!!!! Ca fait des décennies qu’on vous le dis, GRANDS stratèges parisiens au dessus du peuple!!!!!
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  Eric Martin , 14 janvier 2015 @ 10 h 31 min

  Dénoncez-vous, et plus vite que ça svp !!!
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  tournesol , 14 janvier 2015 @ 10 h 46 min

  Pourquoi ne pas créer des goulags ou des guatanamos.
  Cette journaliste de gauche a une drôle conception de la liberté d’expression et de déontologie. Il est vrai qu’elle travaille sur la chaîne de TV nationale qui est aux ordres.
  elle aura sa légion d’honneur, comme les Pujada et consorts.
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  Xav , 14 janvier 2015 @ 10 h 46 min

  Alex,

  Je veux bien croire que vous soyez de bonne foi. Nous sommes très certainement sur la même longueur d’onde sur beaucoup de sujets (et principalement sur les sujets essentiels pour notre nation).

  Comprenez bien que la “traque” que vous avez l’air d’appeler de vos voeux ne risque que de radicaliser des gens qui ont pris une posture idéologique principalement par réaction. En interdisant le débat, vous n’allez que vous priver (je dis vous, mais c’est plutôt eux car vous ne devez finalement pas avoir beaucoup de poids dans cette histoire, comme chacun de nous) vous allez vous priver de pouvoir les attaquer sur le front des idées en leur faisant prendre conscience de l’aveuglement de leur position et des erreurs dans leur raisonnement. Si cela arrive, les terroristes qui avaient finalement échoué dans leur attentat d’un point de vue des idées : le journal n’a jamais bénéficié d’une telle aura, son tirage va exploser alors qu’il était moribond (il serait mort de toute façon sous peu, faute de lecteurs et aurait du alors sortir par la petite porte, ses caricaturistes vulgaires couverts d’un ridicule bien mérité), ils seront gagnants sur le long terme car la frustration que vous allez engendrer auprès de ceux à qui vous voulez interdir de penser ne fera que croitre au point de les radicaliser. Si les gens ne peuvent pas dire que les charlots l’avaient mérité, vous ne pourrez pas leur faire comprendre que si aujourd’hui, les cibles étaient bien définies, elles seront demain complètement aléatoire (les enfants tués par daesh et consort dans les pays où ils font fureur n’avaient pas eu le temps de caricaturer grand monde, la vidéo d’Aldo Sterone diffusé sur le site résume très bien cette idée : http://www.ndf.fr/nos-breves/10-01-2015/aldo-sterone-le-terrorisme-na-pas-attendu-les-caricatures-pour-frapper ). Tout ce qu’ils se diront, c’est que si on leur interdit cette pensée, c’est qu’ils étaient proche de la vérité. En interdisant le débat, on interdit d’attaquer leurs idées par la raison.

  En tout cas, comme pour l’Ukraine et le camps pro-russe ou pro-otan, ce genre de déchirement interne des “patriotes” est du vrai pain béni pour nos ennemis… On s’écharpe pour des détails à la marge (alors que la proportionnelle ou le futur traité transatlantique sont effectivement des sujets qui méritent plus d’attention que l’interdiction d’un comique pour certains ou d’un guignol pour d’autres).
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  Xav , 14 janvier 2015 @ 10 h 52 min

  Ce qui est triste, c’est que quand ils se font choper pour viol, vol avec violence ou dégradation de biens publics, ils n’écopent de rien. Alors que quand ils manquent de respect aux nouvelles icônes, ils vont être traqués… Saisissez la gravité de la situation.

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