Ouf : Marine Le Pen renonce à nommer un cofondateur de GayLib délégué à la Culture

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Au terme d’un bureau politique agité marqué par une fronde de la plupart de ses cadres à l’arrivée du fondateur de GayLib Sébastien Chenu, Marine Le Pen aurait renoncé à nommé cette “prise de guerre” délégué à la Culture du Rassemblement Bleu Marine.

Bravo aux lecteurs pour leur mobilisation !

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64 Comments

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  • hermeneias , 13 décembre 2014 @ 17 h 39 min

    Blabla Azerty

    Pour diriger les autres , comme pour conduire un avion , il vaut mieux être sain de corps et d’esprit car on a la responsabilité de vies humaines .

    Cette chanson d’une vie politique qui serait déconnectée de la morale personnelle devrait plaire à Strauss-Kahn et à tout ses semblables qui sont NOMBREUX .
    C’est vraiment n’importe quoi .

    Je n’aime pas le crane rasé et les pantalons moule-bite de Briois . Cela vous pose tout de suite le bonhomme

  • hermeneias , 13 décembre 2014 @ 17 h 40 min

    “Chemin de Damas” ?

    Comme vous y allez azerty !

    N’est pas St Paul qui veut . Maitrisez votre langage

  • Azerty , 13 décembre 2014 @ 17 h 54 min

    C’est aussi une expression employée par Gollnisch dans son article et avec lequel je suis en parfait accord.

  • Monsieur T , 13 décembre 2014 @ 19 h 21 min

    En 1995, le FN avait présenté 444 listes dans les villes de plus de 9 000 habitants contre 422 en 2014.
    En 1995 c’était 1363 sièges de conseillers municipaux, en 2014 c’est 1180 dont 200 ont déjà fait défection…
    En 1995, le Front prenait Toulon, 170 000 habitants, en 2014 Fréjus qui ne compte que 50 000 habitants.
    Régionales 1986 : 2 658 000 électeurs et 137 élus.
    Régionales 1992 : 3 375 000 électeurs et 239 élus
    Régionales 1998 (juste avant la scission) : 3 274 000 électeurs et 275 élus.
    Régionales 2004 : 3 200 000 électeurs et 156 élus (le différentiel s’expliquant par une modification du mode de scrutin.
    Régionales 2010 : 2 224 000 électeurs et 118 élus… no comment.
    En 1995, aux présidentielles Le Pen ramassait 4 570 000 voix (15%) avec un De Villiers dans les pattes qui raflait quand même 1 440 000 voix (4,73%), en 2014 Marine Le Pen sans un De Villiers ou un Mégret dans les pattes, avec comme adversaires le désastre Sarkozy et le mou Hollande n’arrive même pas au second tour.
    Le nombre d’adhérents du front est sensiblement le même qu’avant la scission de 98.
    Le néo-Fn transforme stagnation et décroissance en grandes victoires, mais ceux qui examinent les chiffres ne sont pas dupes.

  • hermeneias , 13 décembre 2014 @ 19 h 52 min

    tu l’as dit bouff

    alors ces connexions “évidentes” entre niestzchéens , sionistes , homofolles , franc-mac, nazillards , communards , islamophiles , orientalisants , pédo , amateurs de hammams de harems et de loukhoums …….Hummm ?

    Cela vient du bouff– ?

  • lepitt , 13 décembre 2014 @ 21 h 32 min

    Sauf qu’en 2012 et non en 2014, le “néo-FN” passe de 10% des suffrages à 18% et gagne plus de 2,5 millions d’électeurs et près de 8 points par rapport à 2007, Sarkozy et Bayrou, représentants des deux “droites”, perdent à eux deux plus de cinq millions d’électeurs. Une bonne moitié d’entre eux se retrouve chez Marine.
    En 2014, Pour la première fois, le “néo-FN” arrive en tête d’une élection nationale, avec près de 25% des voix aux élections européennes, et 24 élus. Aux législatives, Marine a manqué de peu son siège à l’assemblée Nationale. Marion, (Plus Jeune Députée de La Ve République) est élue dans le Vaucluse, tout comme Gilbert Collard, qui s’impose dans le Gard.
    La même année, aux Municipales, dans 5 440 communes, c’est-à-dire une sur sept, en France, le “néo-FN” obtient plus en pourcentage des inscrits que Marine Le Pen à la présidentielle. Il obtient plus de voix, avec une participation pourtant plus faible. Cela veut dire qu’au-delà de l’hypothèse de la mobilisation différentielle, le “néo-FN” a su mobiliser au-delà de son potentiel de 2012. Après Hénin-Beaumont, remporté brillamment par Steeve Briois au premier tour, neuf villes ont été remportées par le “néo-FN” ainsi que le VIIe secteur de Marseille. D’autres villes nous ont échappé, parfois à quelques voix près : Avignon, Forbach, Saint-Gilles ou encore Villeneuve-Saint-Georges. David Rachline (plus jeune sénateur de la Ve République) et Stéphane Ravier deviennent les premiers sénateurs “néo- FN ” de la Ve République. Aujourd’hui, tous les sondages indiquent que la présidente du “néo-FN” arriverait largement en tête du premier tour de la présidentielle 2017 dans tous les cas de figure et quel que soit son adversaire. Au second tour, la présidente du “néo-FN” serait également en mesure de l’emporter sur un candidat socialiste.

    “ceux qui examinent les chiffres ne sont pas dupes”… en effet !

  • hermeneias , 13 décembre 2014 @ 21 h 39 min

    C’est une femme ? Goupille

    Le côté passionaria , Rosa Luxembourg ….ça n’est pas pas toujours très rassurant .

    Il y a eu des femmes extrémistes très inquiétantes . Beaucoup chez les communistes notamment très remontées et vindicatives , des tricoteuses , des harpies pendant la révolution française qui n’étaient pas les dernières à hurler à la mort ….

    Bref nous n’avons pas besoin de tribuns homme ou femme . M.Lepen joue un peu trop sur le côté tribun cherchant à exciter les foules plutôt que sur la pertinence , la force et la justesse des arguments

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