Philippe de Villiers raconte la corruption systémique de l’Union européenne

20 Comments

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  Marino , 12 octobre 2015 @ 18 h 03 min

  C’était au Parlement de Strasbourg :
  François Hollande était déjà président de la République et Philippe de Villiers était encore député européen.
  «Nous avons vu tomber le mur de Berlin, nous verrons bientôt tomber le mur de Maastricht, le mur du mensonge», avait lancé le Vendéen au chef de l’État. C’était le 5 février 2013.

  http://www.dailymotion.com/video/xxallz_philippe-de-villiers-le-5-fevrier-2013-au-parlement-europeen-a-strasbourg_news
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  von Reisner , 12 octobre 2015 @ 18 h 19 min

  Eh bé, c’est encore pire que ce qu’on subodorait !
  Je vais acheter le livre de Philippe de Villiers sans tarder…
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  Catholique & Français , 12 octobre 2015 @ 18 h 39 min

  Effrayant ! Ma seule (petite) consolation : avoir toujours et systématiquement voté NON, NON et NON aux différents réferendums, traités ou élections relatifs à ce monstre maçonnique que l’on ose appeler “Europe”. L’Europe ? Peut-être ! En tout cas, pas celle-là et pas comme ça !!!!
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  Marino , 12 octobre 2015 @ 18 h 39 min

  Philippe Le Jolis de Villiers de Saintignon, dit Philippe de Villiers, né le 25 mars 1949 à Boulogne en Vendée, est un homme politique et écrivain français.

  Dans ce livre, « Le moment est venu de dire ce que j’ai vu », l’ancien leader souverainiste fait le procès d’une classe politique accusée d’avoir orchestré « l’effacement de la France ».

  On le croyait reclus pour de bon dans son fief vendéen, mais c’était pour mieux jaillir des oubliettes de la vie publique. Et régler leur compte à ceux qu’il côtoya durant quatre décennies au cœur de la scène politique française.

  Dans ses mémoires, Philippe de Villiers raconte avec mordant un Chirac caméléon, « de droite à Paris et de gauche en Corrèze », un Giscard cheval de Troie de la mondialisation américaine, un Mitterrand plus Janus que jamais, amateur de Barrès mais fossoyeur de la nation au nom de l’Europe et de l’euro. Tous coupables, en définitive, d’avoir « perdu l’idée de la France » et fait le lit d’une société « en voie d’houelllebecsquisation ».

  Seuls les irréductibles du village souverainiste échappent au réquisitoire de l’ex-candidat à la présidentielle

  Peut-être parce que le père du président vint au secours de sympathisants de l’Algérie française emprisonnés, dont le sien, comme le révèle l’auteur. « Ainsi va la marche du destin, qui conduit les hommes vers l’improbable », écrit celui qui espère, en s’appuyant sur l’expérience de la Manif’ pour tous et le retour en grâce d’une certaine pensée « réac » et identitaire, une victoire tardive de ses idées.

  http://www.philippedevilliers.fr/

  « J’ai été un homme politique. Je ne le suis plus. Ma parole est libre. Je suis entré en politique par effraction. Et j’en suis sorti avec le dégoût.

  Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l’imposture n’a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n’y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent. En conscience, j’ai jugé que le moment était venu de dire ce que j’ai vu. »

  https://www.youtube.com/watch?v=D51-iUerlHI
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  flammande , 12 octobre 2015 @ 18 h 47 min

  Cet “entre-soi” lobbyiste est un facteur évidemment aggravant… Le pire étant les vrais donneurs d’ordres, ceux qui ont élaboré l’architecture de l’U.E atlantiste… et l’oligarchie mondialiste qui tire les ficelles… Les petits caporaux et les grands généraux : tout le monde trahit, tout le monde touche… Nous, nous regardons passer les trains, nos impôts être engloutis et cette machine effroyable nous broie !
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  Gisèle , 12 octobre 2015 @ 19 h 37 min

  https://www.youtube.com/watch?v=TWYkLiBeU9M
  L’enfer de la fausse liberté !
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  Gisèle , 12 octobre 2015 @ 19 h 45 min

  @Marino
  En 2 ans , Hollande a beaucoup changé physiquement , vous ne trouvez pas ?
  Quant au pédophile de service , sous ses airs révoltés , il ch … dans son froc .

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