Le «mariage» gay et l’adoption en chute libre dans un sondage

Le sens de l’Histoire n’existe pas, nos lecteurs le savent et l’Ifop vient de le prouver. L’institut vient de réaliser un sondage* pour Le Figaro, qui montre que l’approbation du “mariage” gay et de l’adoption par les homosexuels est en chute libre : 61% des Français sont favorables au premier (la question est formulée de manière à obtenir le meilleur score possible et des Français n’osent plus dire ce qu’ils pensent vraiment en raison du terrorisme intellectuel qui règne sur la question) contre 65% en août 2012, soit 4 points de baisse en… deux mois. Pour l’adoption, qu’amène forcément le “mariage”, la chute est encore plus rude : on passe de 58% d’opinions favorables en juin 2011 à 48% en octobre 2012 ! C’est moins qu’en mai 2004 où l’adoption était approuvée par 49% de nos compatriotes. Une tendance à la baisse déjà observée cet été et très forte chez certains groupes d’électeurs comme les sympathisants UMP, dont la minorité favorable à l’adoption passe de 38% en août 2012 à 21% ce mois-ci.

Les Français sont donc de nouveau majoritairement défavorables à l’adoption par les homosexuels (donc au “mariage”) alors qu’un débat est de facto en train de naître, malgré les tentatives du lobby gay de diaboliser tous ses contradicteurs, et que les défenseurs du mariage semblent en bénéficier. François Hollande et le Gouvernement les entendront-ils ? Oseront-ils le référendum ? Affaire à suivre…

*sondage réalisé du 9 au 11 octobre 2012 sur un échantillon de 988 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.

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24 Comments

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  • polo , 12 octobre 2012 @ 12 h 46 min

    Non au mariage gay et à la reconnaissance juridique de l’ homoparentalité.

    I. Le langage

    La normalophobie.

    L’habitude a été prise, depuis une douzaine d’années, d’utiliser systématiquement les termes d’homosexualité ou d’hétérosexualité, au point que personne ne parle plus d’orientation sexuelle normale ou d’orientation sexuelle déviante. Certains sympathisants de la cause homosexuelle refusent même l’emploi du terme « normal » quand il s’applique à la sexualité. Ils ne tolèrent pas que l’on puisse ainsi porter un jugement sur les orientations sexuelles ni, par conséquent, réfléchir sur le mariage gay et l’homoparentalité.

    Des mots précis.

    L’emploi d’un même terme pour désigner deux réalités différentes conduit à des confusions.
    On ne peut donner un même nom, en l’occurrence “couple” à l’union homosexuelle et à l’union hétérosexuelle. En effet l’union d’un homme et d’une femme est différente de l’union entre deux hommes ou entre deux femmes, à moins de considérer que l’homme est identique à la femme.
    L’homosexualité est une forme d’ intolérance à l’altérité sexuelle alors que l’hétérosexualité fait vivre la complémentarité sexuelle.
    L’utilisation d’un même terme, “couple” pour désigner deux réalités différentes, et même antagonistes, est anormale.
    A deux types d’unions différentes il faut donner des noms différents : “couple”, comme on l’utilise depuis toujours pour les unions hétérosexuelles et, pour les unions homosexuelles, on peut préconiser le terme “paire” car cette union concerne deux personnes de sexe identique.
    Si le couple est composé de deux personnes c’est qu’il y a deux sexes différents. Le chiffre “2”, en tant que tel, n’ouvre aucun droit. S’ agissant d’homosexuels, le sexe étant le même pour les deux personnes, cette reconnaissance juridique de la vie à deux n’offre pas plus de pertinence qu’une reconnaissance juridique de la vie à trois, quatre ou cinq.

    Toute confusion dans les termes entraîne une confusion dans la perception de ces deux réalités. Cette confusion peut amener à souhaiter un même régime juridique , en l’occurence le mariage, pour des unions qui sont différentes.
    Le mariage n’a pas été créé pour permettre au législateur de remettre en cause la liberté individuelle en se préoccupant de sexualité récréative, homo ou hétéro, ni pour s’occuper d’amour. Le maire n’a d’ailleurs pas à demander aux futurs époux s’ils s’aiment ou non. Il ne leur demande pas non plus leur orientation sexuelle, cette dernière, quelle qu’elle soit, ne confère aucun droit. Le mariage est ouvert à tous. Il ne crée ni une injustice ni une discrimination envers les personnes qui sont incapables d’établir une relation complète avec le sexe opposé. Leur déviance de l’orientation sexuelle est la seule cause de leur incapacité à se marier. Si chaque individu peut librement se marier, est l’ égal des autres devant le mariage, l’union homosexuelle, elle, n’est pas égale à l’union hétérosexuelle. Seules des choses identiques peuvent être traitées d’une façon égale.

    II. La loi et le mariage

    Malgré le chantage à l’homophobie le législateur n’a pas à étendre le mariage à une union différente de celle pour lequel il est prévu, cela d’autant plus qu’ avec le mariage, le plus souvent, un tiers est concerné : l’enfant . Le législateur, par le mariage, propose un cadre au couple afin de l’aider à se stabiliser et protéger ainsi l’enfant né ou à naître. S’il est exact que des homosexuels peuvent avoir la charge d’enfants, la demande de reconnaissance juridique de l’homoparentalité comme une forme de paternité est inutile, l’enfant ayant un état civil et donc un régime juridique clair.

    III. L’enfant

    Une fraction du lobby homosexuel souhaiterait assimiler le couple avec enfant et une paire d ‘ homosexuels élevant un enfant. En effet l’apparence de ces derniers se rapproche de celle du couple normal. Les demandes d’accès au mariage et à l’adoption peuvent de ce fait apparaître parfois comme destinées à faire oublier le caractère spécifique de l’homosexualité. L’enfant deviendrait alors un moyen mis au service d’une cause qui n’est pas la sienne. Cette instrumentalisation de l’enfant au profit des personnes homosexuelles pose un vrai problème d’éthique. De même les maltraitances d’ enfants doivent être sanctionnées si des parents sont indignes. Les enfants placés dans une famille d’adoption doivent y retrouver le père et la mère qui leur manquent. On ne doit pas utiliser le malheur de ces enfants afin de démontrer qu’ils seraient mieux dans une famille de deux hommes ou deux femmes que dans leur famille d’origine et les transformer ainsi en propagandiste obligés de l’homoparentalité. Quant à l’adoption par un célibataire elle devrait prioritairement permettre que des enfants puissent être adoptés par leur oncle, leur tante, ou un autre membre célibataire de sa propre famille.

    Faire croire à un enfant qu’il a deux papas est un mensonge.
    Faire croire à un enfants qu’il a deux mamans est choquant. Une mère est unique, biologiquement et moralement. C’est cette unicité qui crée le lien enfant-mère à nul autre comparable.

    Avec le mariage la société reconnaît juridiquement l’importance de l’altérité sexuelle et lui rend hommage, en mariant par exemple des couples qui ne peuvent pas, ou plus, enfanter. La société sait que seule l’ union d’un homme et d’une femme permet potentiellement d’ assurer son avenir. Les hétérosexuels n’ont jamais eu besoin de réclamer un droit au mariage , car une telle possibilité est évidente depuis la nuit des temps.
    La loi n’a pas à entériner toutes les situations de fait découlant du comportement de tel ou tel individu sauf à créer une règle par individu et par situation ce qui entraînerait la disparition de la notion même de droit. L’homosexualité a toujours existé, elle est admise par notre société. Ce comportement n’a cependant pas vocation à être à l’origine d’une modification de la législation sur le mariage.

    IV Non au mariage pour les gays

    L’union hétérosexuelle peut donner la vie, pas l’union homosexuelle. La première respecte l’altérité sexuelle, la seconde l’ignore. Les principes d’égalité, de non-discrimination, ne s’opposent pas à ce que le législateur règle de façon différentes des situations différentes.

    Le mariage pour les gays est un non-sens.

  • jejomau , 12 octobre 2012 @ 14 h 16 min

    Ce n’est pas le premier sondage qui montre que les français REJETTENT cette mascarade homosexualiste. TOUS les sondages montrent – à chaque fois – que les français sont radicalement CONTRE à une majorité écrasante : http://www.leforumcatholique.org/message.php?num=647358…. La dicature d’une extrême minorité va-t-elle s’imposer en France contre la Démocratie ?? La question est réellement posée…

  • Justine , 12 octobre 2012 @ 15 h 49 min

    La loi doit être votée le 24 octobre je crois ?

  • fbastiat , 12 octobre 2012 @ 15 h 51 min

    Le gouvernement passera en force quelle que soit l’opinion majoritaire. Il veut détourner l’attention du pays de son incapacité à réduire les dépenses publiques et à faire les réformes de structure que la France attend depuis des décennies.

  • VINCENT , 12 octobre 2012 @ 15 h 54 min

    La France est sous le joug d’un tel totalitarisme intellectuel-idéologique qu’on peut tout craindre.
    Qui osera ainsi abandonner l’enfant sans défense ?
    Qui osera tuer la famille ?
    Le PS et ses suppôts diaboliques.
    L’article de Polo ci-dessus est exhaustif et très clair, il indique la juste voie de notre civilisation consacrée par l’histoire et le droit.
    N.B. De mon vécu je témoigne que l’enfant peut craindre le pire abandonné à la toute puissance de l’homo-érotisme (homosexuel est un terme inexact, la sexualité renvoyant à la différence des sexes, à l’altérité qui est niée dans le jeu ou l’attachement homo-érotique).
    Dans ma petite enfance hélas, un demi-frère aîné de 15 ans, homo-érotique (et bi avec les enfants puisqu’il fût condamné pour le viol de ma demi-soeur de 2 ans mon aînée, mais sans jamais de liaison avec des femmes). Je fût tout petit victime des ses “jeux” imposés (souvenirs vers l’âge de ‘ et 6 ans étayés par des repères, puis tentatives de viol (sodomie) difficilement contenues (cris très forts) aux âges de 12 puis 15 ans dans la chambre d’hôtel où il m’emmenait dormir (pourquoi ? et pourquoi le consentement de la personne à qui l’A.P. (DASDELEPOQUE) m’avait-orphelin-confié…
    Cet énergumène à détruit notre dé(re)composée-famille-avant-l’heure… ces évènements datent de 1945 à 1956… ils sont prescrits partout-sauf-en-ma-mémoire.
    Ceux qui ne peuvent (je compatis et quelquefois les aide et les soutiens) contrôler leurs pulsions et préfèrent subvertir la société plutôt que leur montage érotique ne peuvent prétendre à ce que la société, sauf à se renier, leur confie des enfants désarmés… La sexualité perverse n’est pas un mythe sans effets dans le réel… Des affaires récentes et la criminalité sexuelle ordinaire en témoigne suffisamment.
    Au moins deux référendum nécessaires: celui des citoyens et celui des enfants… Voulez-vous une famille normale si possible ? réponses oui // non.
    Tout le reste est verbiage-et-subversion jusqu’à la conscience. (sciences-po. pourquoi ? boucher un des coins de la pensée-unique qui nous tyrannisedanslequotidienpourceladevenuinvivable.)
    Pardon pour le temps dérobé.
    Il faut un référendum !!!! manifestons, dans la rue s’il le faut.

  • diego , 12 octobre 2012 @ 16 h 03 min

    Il faut exiger un referendum sur ce sujet… Les sondages sont manipulés tout le monde sait cela. Le lobby homo est très puissant et ultra présent dans les milieux médias, show bizz et publicitaires…

  • jejomau , 12 octobre 2012 @ 16 h 04 min

    Le socialiste est par définition un être pervers car perverti…. En effet qui peut souhaiter décemment à son enfant de devenir un jour socialiste ? Personne. Ceux qui le deviennent le sont du fait de leur parcours une fois qu’ils échappent à leurs parents : un socialiste qui ne se repent pas est d’ailleurs une personne condamné par l’Eglise catholique et excommuniée….

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