Comment la Génération Y se perçoit elle-même

11 Comments

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  né en 1941 , 13 septembre 2013 @ 8 h 59 min

  On parle on parle!
  Pour ma part j’ai travaillé 42 ans sans plus d’une semaine d’arrêt de travail pendant ces 42 ans.
  Ouvrier métallurgiste tourneur mon salaire était de 400 francs lorsque j’ai commencé à travailler. Pour améliorer ce salaire, j’ai fait des heures supplémentaires allant jusqu’à 50h par semaine.
  J’ai consacré ma vie à mon travail et ma famille et je ne me retrouve pas dans la description que vous faites des gens de ma génération.
  Je n’ai pas été le seul à vivre cette vie, je ne suis donc pas une exception.
  Aujourd’hui en retraite, j’estime ne pas voler les générations qui sont arrivées après moi. J’ai versé aux caisses de retraite pendant tout ce temps et pour toutes ces heures et années travaillées.
  En passant, j’ai aussi donné deux ans de ma vie à la Patrie avec un petit passage de 9 mois en Algérie comme appelé.
  C’est simplement mon cas mais nous sommes des milliers dans ce cas, alors de qui parlez-vous Monsieur?
  J’ai de la peine à la lecture de votre commentaire, sachez-le.
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  patrhaut , 13 septembre 2013 @ 14 h 59 min

  @MarcS : c’est non seulement idiot mais c’est faux…
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  né en 42 , 13 septembre 2013 @ 16 h 32 min

  Oui, d’accord avec : né en 41.
  Nous avons connu des années de travail de 48h et plus dans certains branches. Des salaires bien maigres aussi au début. Il en fallait des heures supplémentaires pour s’en sortir…..
  Beaucoup comme mon père, n’ont pas pris de congés payés durant toute leur vie de travail, pénible ou pas. Et pour nous, 3 semaines, sans Rtt possible.
  Après cela la France s’est relevée de l’état de misère du à la guerre et à l’occupant qui lui avait pris toutes ses ressources et l’avait l’a laissée exangue.
  Nous avons contribué à relever la France.
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  né en 42 , 13 septembre 2013 @ 16 h 56 min

  Peut-être aurait-il fallu travailler plus pour garder une compétitivité à notre industrie ? cela nous a coûté en argent emprunté par ailleurs.
  Nous souffrons de voir tout ce qui faisait notre fierté disparaitre de notre pays : textile, chaussures, et tant d’autres manufactures réputées françaises. Même le luxe” français ” est confectionné hors de France.
  Les folles dépenses de nos élus de tous bords devraient être encadrées. Tout se sait. Pas de caisses souterraines de millions d’euros par ci, par là . Les élus honnêtes sont effarés.
  Il y aurait de quoi sauver ce qui risque de disparaitre bientôt.

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