Un des problèmes majeurs du discours sur le changement climatique est l'obsession "carbocentrique".
Or, les dégradations du milieu affectent le cycle des nutriments, la structure du réseau trophique, la richesse taxonomique, etc. qui ne sont pas réductibles au seul carbone.
— Vertumne ???? (@Vertumne1) August 11, 2021
Un champ de céréales cultivé intensivement aura probablement un "bilan carbone" inférieur à celui d'un élevage extensif bio en prairie. pic.twitter.com/Wq8VND8OuL
— Vertumne ???? (@Vertumne1) August 11, 2021
Or, le sol du champ est artificialisé, bourré de pesticides rien ou presque ne pousse, la faune est très pauvre. C'est un désert planté.
Le sol de la prairie est riche en matière organique, beaucoup d'insectes (papillons, abeilles, coléopteres), d'herbacées. pic.twitter.com/xDXhOMeDdk
— Vertumne ???? (@Vertumne1) August 11, 2021
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