Le Figaro nous apprend que le nombre de viols dénoncés aux autorités a progressé de 18 % en cinq ans, en France, et de plus de 20 % pour les mineures. Et le quotidien d’annoncer que cela représenterait 33 viols par jour, soit une agression sexuelle toutes les quarante minutes. Certains pourraient dire qu’on est bien loin des 300 viols quotidiens, annoncés dans ces colonnes par Laurent Obertone. Sauf que l’enquête reconnaît également qu’à peine 10 % d’entre eux font l’objet d’une plainte. C’est donc une confirmation des chiffres donnés par l’auteur de La France Orange Mécanique, et signifie donc que c’est un viol toutes les quatre minutes qui est commis en France !
Naturellement, les statistiques ethniques étant interdites dans notre pays, l’enquête ne précise pas l’origine des agresseurs, et pas davantage celle des agressées. Il suffit pourtant de se pencher sur quelques exemples, venus d’autres pays, pour se faire une petite idée. En Grande-Bretagne, à Rotherham, de 1997 à 2013, 1.400 adolescentes d’origine britannique ont été abusées sexuellement par des prédateurs majoritairement pakistanais, avec le silence complice des autorités et des travailleurs sociaux. Le Telegraph de Londres, en 2004, rapportait des propos de Youssef Qaradawi en personne, chef du Conseil européen de la fatwa et de la recherche en Europe et idéologue des Frères musulmans, qui légitimait le viol des femmes impudiques (donc sans voile islamique).
En Norvège, le taux de viol est six fois plus élevé qu’à New York.
Le Conseil national suédois pour la prévention du crime a révélé que près de 30 % des viols sont commis contre des jeunes filles de moins de 15 ans. Les auteurs de ces viols sont presque exclusivement des immigrés musulmans, dont beaucoup de demandeurs d’asile.
Aujourd’hui, l’État islamique, qui fascine tant de jeunes apprentis Merah, vend sur le marché des fillettes au prix de 150 euros, et des mécréantes de plus de 40 ans à 50 euros. Le prophète Mahomet a approuvé lui-même le viol des femmes esclaves. Il y a bientôt dix ans, Samira Bellil, après avoir supporté des années des viols collectifs répétés dans des cités majoritairement habitées par des Arabo-Musulmans, a écrit un livre, Dans l’enfer des tournantes. Elle avait expliqué au Time que « n’importe quelle fille du quartier qui fume, emploie du maquillage ou porte des vêtements attrayants est une putain ».
Nul n’a oublié le drame de cette jeune fille de 18 ans, agressée il y a quelques mois à la sortie du RER, à Evry, frappée, torturée, battue au sang et violée par des « jeunes » âgés de 11 à 17 ans, qui ont expliqué leur geste par ces mots : « Toutes les Françaises sont des putes. » À Calais et à Sangatte, les agressions sexuelles, cachées par les autorités, se multiplient.
Bien évidemment, tous les nouveaux venus, musulmans ou pas, ne sont pas des violeurs, et il y a des Français d’origine parmi ceux-ci. Mais en implantant massivement des populations nouvelles, presque exclusivement des hommes célibataires en pleine force de l’âge, à qui on a trop souvent inculqué que « les Françaises sont des putes », mais aussi des proies de la conquête islamiste pour celles qui ne se voilent pas, nul ne peut être étonné de la montée du nombre de viols en France et dans la majorité des pays européens.
Naturellement, nos féministes gauchisantes, tellement à l’aise quand il s’agissait de stigmatiser le salaud de mâle gaulois des années 1980, aimeraient tant que les violeurs soient des électeurs de Marine Le Pen, et les victimes des pauvres musulmanes voilées. Hélas, la réalité est cruelle pour les propagandistes du vivre ensemble, d’où leur silence complice…