Quand Asselineau met en pièces Ruth Elkrief

7 Comments

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  Vent d'Est, Vent d'Ouest , 12 avril 2017 @ 17 h 48 min

  M. Asselineau, concernant le gouvernement de Vichy, il y a AUSSI un fond juridique et historique que vous semblez avoir occulté. L’état français de Pétain n’est pas la France et ne sera jamais la France, celle des résistants sur le terrain, celle de Londres. Quant il s’agit des propos de votre ami, vous lui en trouvez des excuses ! À mes yeux, vous vous êtes complètement discrédité, et ce dès le début de vos attaques verbales, injustifiées et limite diffamatoires, contre MLP. Dommage, j’avais quelque faible pour votre programme…
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  Tonio , 12 avril 2017 @ 18 h 42 min

  Ruth Elkrief bénéficie outrageusement d’un avantage qu’elle n’a pas accordé à son invité, elle lit ses questions soigneusement préparées, qu’elle se donne le droit de l’interrompre dès que ça tourne moins pour elle, dès qu’il ne semble pas donner la réponse attendue, l’ironie de cette Ruth-là est une insulte facile aux invités.
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  Charles-de , 12 avril 2017 @ 20 h 14 min

  Essayons d’être OBJECTIFS, comme on nous l’a appris en Histoire : certes, ce sont les gendarmes de Pétain, commandés par Bousquet, qui ont raflé les Juifs pendant l’Occupation . Mais QUI avait voté LES PLEINS POUVOIRS à Pétain en juillet 40 ? _ Les députés, essentiellement de GAUCHE qui avaient été élus EN 1936 pour le Front Populaire ! Comme l’a dit Edgar Faure : “Ce n’est pas la girouette qui tourne, c’est le vent !” Et puis, notre cher Mitterrand a protégé et reçu Bousquet pendant des décennies. Qui lui a demandé s’il condamnait les actions sinistres de ce monsieur ?
  Elargissons à d’autres exemples : la Terreur de Robespierre, et entre autres les massacres de Vendée. QUI en est responsable ? La France ou ses gouvernants, qui ont tout de même été les fondateurs de la République, en massacrant et en coupant les têtes, ce que jamais les pires rois n’avaient fait ?
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  Gisèle , 12 avril 2017 @ 23 h 52 min

  @Charles-de
  BIEN DIT ! RIEN A AJOUTER !
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  borphi , 13 avril 2017 @ 17 h 41 min

  Deux dévaluations en juin, de 20 %, puis en décembre 1958, de 17,55 %, qui consolident le commerce extérieur français, avec la création d’un « franc lourd » qui vaut 100 anciens francs.
  Le 8 août 1969, le premier ministre Jacques Chaban-Delmas, qui avait refusé la dévaluation en novembre 1968, prend la décision de dévaluer de 11,1 % le franc. Le général De Gaulle avait entre-temps démissionné le 28 avril 1969. Les effets sont renforcés par la réévaluation du mark allemand le 27 octobre 1969, contre toutes les autres monnaies.
  Wikipédia.
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  Décidément Apathie devrait réviser ses sujets avant d’affirmer qu’il n’y avait eu de dévaluation que dans les années 80-90.

  C’est bien ces dévaluations de 1958 et 1969 qui ont fait les trente glorieuses.
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  François2 , 13 avril 2017 @ 18 h 57 min

  Asselineau veut aussi mettre en pièces les Français en refusant de lutter contre l’immigration-invasion.
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  Trucker , 17 avril 2017 @ 16 h 06 min

  ça à l’air de les emmerder les journaleux l’idée que l’on puisse réformer la constitution et d’organiser des débats et des référendums……surtout quand les questions posées ne sont pas dans l’optique idéologique de leurs maîtres et employeurs !

  Apathie qui dit que TF1 est abêtissant…..parce qu’il croit qu’il contribue à rendre les gens intelligent lui ?

  Ruth Elkrief parle du risque de l’inconnu..Mais cocotte, c’est le propre de l’Histoire que d’être fait d’imprévu….et puis elle pose des questions mais on voit que les réponses trop argumentées de manière précise et technique la laisse dépassée….manque de compétence ou habitude de poser des questions bidons à des politiciens complices de l’imposturocratie.

  Ces journalistes sont des prostitués…..et faut-il le rappeler qu’elles sont payées avec l’argent des contribuables pour ce qui est de France Info….( ce pourquoi je n’ai plus de télévision depuis longtemps )

  Pour le reste Asselineau est égal à lui même et fait campagne en faisant usage du processus de culpabilisation, devant lequel il se couche lorsque Ruth Elkrief en fait usage à son encontre.

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