Ex-Lejaby : des salariés découvrent la gestion d’une entreprise

Eric Martin
12 janvier 2014
Latest Update: 12 janvier 2014 3 h 49 min
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Les ex-Lejaby découvrent la gestion d’une entreprise avec ses responsabilités et ses contraintes. Elles apprennent également que le capital est le trésor de guerre d’une entreprise et que sans capital, il n’y a pas de travail.

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Mike-Arge , 13 janvier 2014 @ 12 h 40 min
je pense qu’elles devraient changer pour une gamme très luxe

par exemple de la lingerie très très “coquine”

les 12 grammes à 200 euros

sinon, dernière solution : s’adosser à un groupe plus important français ou autre
sentinelle , 13 janvier 2014 @ 13 h 01 min
Pour Alain Celse,

Si le patron de l’époque avait mis la même bonne volonté et le même acharnement qu’aujourd’hui, l’entreprise n’aurait alors jamais fait faillite…

C’est tellement facile de rendre les ouvrières responsables de la faillite !…
Les seules qui n’ont aucuns pouvoirs de décisions sur les finances et la façon de l’investir….
Les seules à qui ont ne demande pas leur avis, parce qu’ont s’en fout…et puis aussi…pas assez intelligentes pour comprendre les enjeux en cours…

Seulement voilà, trop de patron se sont comporter comme les gens du gouvernement, à savoir : je mène grand train avec belle voiture, je vais et j’invite au resto 3 ou 4 étoiles mes potes, mes clients, éventuellement ma ou mes maîtresses……………etc, et je fait faire des NOTES DE FRAIS……génial tout passe sur l’entreprise.

Par contre, les “gourdasses” qui se lèvent à l’aube, qui bouffent à la cantine payante, ou le panier qu’elles se sont préparé avec leur deniers perso, (et qui n’aurons pour cela pas de note de frais remboursé par l’entreprise), si jamais elles demandent une augmentation, le patron jugera qu’elles n’ont pas mis assez de… “bonne volonté et d’acharnement à l’exécution de leur tâches”.

Après vient la grande ritournelle de l’entreprise qui ne peut satisfaire à l’augmentation de tous les salaires, et là vous apprenez que le staff secrétaire, directeur, sous-directeur, et vos chefs direct, eux ont été bien augmenter.
Et puis la BMW du patron à coûter plus cher que prévu, alors vous, Il vous faudra attendre une prochaine fois….enfin… si entre temps vôtre cher patron n’a pas couler la BOITE.

Rassurez vous, Alain, ce sera forcement de la faute des salariés………..
Goupille , 13 janvier 2014 @ 19 h 39 min
En voilà une idée qu’elle est bonne… Des culottes fendues pour sex-shop, avec du duvet de cygne.
Allez-y, racontez-nous vos fantasmes. Cela nous divertira.

De mémoire, elles travaillent dans le luxe, pour couturiers qui, eux, savent reconnaître le “métier” et l’excellence.
C’est pour cela que le petit crétin qui arrive avec son chrono va leur coûter une fortune, car nous savons combien se font payer ces pieds-plats.

Puisse-t-il ne pas les couler.
In memoriam : Christian Lacroix…
johnDeuf , 13 janvier 2014 @ 23 h 20 min
Faut pas pousser!!
Si les charges sociales versées salariales + patronales qui sont le salaire en nature du salarié et qui se réalisent en prestations sociales diverses étaient réservées à ceux qui travaillent et non à tous ces fainéants qui viennent d’ailleurs les sucer peut être que l’entreprise et les salariés en auraient payé moins et que les prix auraient pu être concurrentiels. Peut être que si l’impôt sur les sociétés qui est en réalité un impôt sur la production payé par les salariés et le patron ou les actionnaires + la contribution économique territoriale n’existaient pas peut être qu’avec des prix inférieurs l’entreprise aurait été bénéficiaire.
Ce dont peuvent profiter les patrons par d’éventuels abus n’est qu’une goutte d’eau dans l’océan de vols réalisés par des politiciens corrompus, je dis bien corrompus.