Le journaliste Nicolas Doze se demande mercredi sur BFM Business “si le fait que Fimalac et Marc Ladreit de Lacharrière soient à la tête de Fitch pourrait en partie expliquer une forme de clémence de Fitch vis-à-vis de la note de la France comparée à Standards & Poor’s et S&P qui ont un regard nettement plus sévère à l’égard de notre notation avec une vraie menace de dégradation ! (…) On a le droit de se poser ce genre de question !” :