Et si on rappelait à Manu et aux autres qu’ils sont nos salariés?

Après une ballade nocturne sur le net, cette allocution permet de bien vérifier  quels médias ou journalistes sont ses affidés.

Rassurez-vous, ils étaient tous là!

Aucun journal de la presse sponsorisée ne lui a tiré dessus, pas même les sites “mainstream”.

L’inamovible Carherine Nayl (de Valeurs actuelles) et ses confrères, selon  des modulations diverses, ont salué l’excellente prestation ( à quel prix le coaching?) et les mesures (fictives) octroyées par lui, avec votre argent.

Tout comme Macron, la plupart de cette valetaille appartient à la masse de nos salariés et semble totalement l’oublier. Il conviendrait donc enfin de leur rappeler très régulièrement qu’ils ne sont que nos employés et qu’avant de glorifier Macron, ils devraient servir leur véritables employeurs.

Et l’on ne sait pourquoi nul n’en parle jamais.

C’est tout de même invraisemblable de supporter des salariés insupportables, lesquels dans la macronie du travail se feraient virer vite fait. Comment faites-vous?

Donc avant de se laisser engueuler ou mépriser par eux, il convient en préambule de leur signifier: “Au fait madame Machin ou Monsieur Truc, souvenez-vous que je paye votre salaire mirobolant, appartenant au 45% de Français imposables, je suis aussi votre patron”.

Idem avec les parlementaires, ministres, hauts fonctionnaires, eurocrates, membres d’ONG subventionnées, etc. Tous!

Si dès que l’on avait en face un élu, un membre du gouvernement, un journaliste du service public, un qui n’est rien, un insulté, un méprisé, comme vous et moi, rappelait à cette engeance d’où viennent son salaire et ses privilèges, avec une démultiplication de tels rappels à l’ordre, ils se calmeraient. Voilà déjà un premier remède à leur arrogance.

Tous ceux qui postent maintes vidéos “politiques” ou sur la politique, des articles, devraient aussi à chaque fois, en préambule, rappeler ce point. Régulièrement et obstinément.

C’est moins onéreux que les impôts, c’est facile et ça peut rapporter gros: au moins en rires.

 

Sybillne Bavastro

 

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