Cette semaine, nous avons assisté, en France, à quelques exemples qui résument la dictature larvée qui s’installe dans notre pays, et en démontrent le mécanisme.
Le docteur Alain de Peretti, président de l’association Vigilance Halal, courageusement, avec peu de moyens, multiplie les conférences et alerte nos compatriotes sur les risques sanitaires graves encourus par les consommateurs, lorsque, à leur insu, ils mangent halal. Naturellement, il n’est relayé sur aucun média, sauf ceux de la réinfosphère, comme TV-Libertés ou Riposte Laïque. Sa compétente n’a été contestée par personne. Et pourtant, ce vendredi, alors qu’il devait tenir une conférence à Bordeaux sur cette question, par trois fois, les salles qu’il avait retenues ont été décommandées, suite aux menaces de ceux qui osent se prétendre antifas.
Nous sommes, avec la complicité de ce régime discrédité, confrontés à la violence de véritables fascistes qui entendent décider qui nos compatriotes doivent écouter, et ceux qui n’ont pas le droit de s’exprimer. Cette milice, au service du pouvoir, bénéficie d’une impunité totale. Ils vandalisent les locaux coupables d’accueillir des gens qui ne pensent pas comme eux, ils saccagent les centre-villes, ils agressent physiquement les patriotes, ils jouent à la guerre avec une police juste bonne à recevoir des pierres et des cocktails molotov… Mais ils ne sont toujours pas dissous, et ne subissent aucune sanction. Sont-ils arrêtés qu’ils sont immédiatement remis en liberté. Ce qui s’est passé ce samedi à Rennes est proprement ahurissant : la police a dû reculer devant des gauchistes dégénérés qui ont bravé l’interdiction, et attaqué les forces de l’ordre, en toute impunité.
Le deuxième exemple fut la crapuleuse décision du maire UMP du 16e arrondissement parisien, Claude Goasguen, d’exiger, à 48 heures du Salon Littéraire du Bnai Brith, de désinviter Pierre Cassen, Christine Tasin et Elisabeth Lalesart. Aucune explication ne fut fournie, le fait du prince s’imposant aux organisateurs. Comme l’a démontré Christine Tasin, le même député UMP a accepté de participer, en Allemagne, à une conférence dont les organisateurs, impliqués dans le combat contre l’islamisation de leur pays, sont qualifiés de « néo-nazis », de manière crapuleuse, par les Verts et les islamogauchistes d’outre-Rhin. Alors que Sarkozy nous refait le coup des discours de 2006, sur l’immigration, Goasguen incarne à lui tout seul toutes les planches pourries de l’UMP, capable de se faire mousser en Allemagne et de se faire passer pour un grand résistant, alors qu’en France, par couardise, il empêche ceux qui luttent contre le cancer islamique de présenter leurs livres dans sa mairie, contribuant à les faire passer pour des personnages infréquentables.
Il y a des Oskar Freysinger ou des Geert Wilders (qui vit depuis dix ans sous protection policière), qui mettent leur vie au service de leur engagement, et des Goasguen, minable caricature du système UMPS, qui préfère, croyant consolider son petit pouvoir de potentat du 16e arrondissement, poignarder dans le dos des patriotes résistants.
Personne n’a oublié les prestations d’Oskar Freysinger et de René Stadtkiewicz, aux Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Personne n’oubliera cette vidéo, traduite par notre ami Pascal Hilout, où Geert Wilders affirme clairement qu’il préfère mourir que renoncer à s’exprimer librement. On apprend ce que sont ses conditions de vie depuis dix ans. Avec une grande sérénité, il assume l’intégralité de son engagement, et ses possibles conséquences, qu’il ne nie pas. Dire que toute la clique Fourest-BHL-Sopo a sali un tel homme, alors qu’ils ne lui arrivent pas à la cheville. Il est intéressant de noter que le journaliste qui interroge le député hollandais est américain, se nomme Dale Hurd, et qu’il avait été le seul journaliste à couvrir, en 2012, la première marche contre le fascisme islamique, organisée par Résistance Républicaine. Les vrais résistants sont ceux qui, bien que calomniés et menacés, à l’image du député hollandais et de tant d’autres, ont choisi de consacrer leur combat à la lutte contre l’islamisation de leur pays, et d’en assumer les conséquences.
Et c’est au moment où la majorité de nos compatriotes, grâce en partie à la réinformation, mais surtout à un quotidien de plus en plus invivable, prennent conscience des réalités de l’immigration et de l’islamisation de leur pays que la direction du Front national, suivant les mauvais conseils de Philippot et ses amis, se met à insulter ceux qui osent parler de Grand Remplacement et à stigmatiser ceux qui osent ne pas faire de différence entre islam et islamisme. Heureusement, pour un Gaétan Dussausaye (où sont-ils allés le chercher celui-là ?) qui ose qualifier de racialiste la thèse du Grand Remplacement, il y a des cadres politiques comme Stéphane Ravier, auteur d’un remarquable premier discours au Sénat sur la lutte contre le terrorisme, Aymeric Chauprade et de nombreux militants de terrain et cadres intermédiaires qui, par leur action quotidienne, comme à Quimper, Hayange, Mantes-la-Ville, Cogolin, Saint-Etienne et bien d’autres lieux, sauvent l’honneur de leur parti. Que dire de la réintégration honteuse de Maxime Buttey, là encore souhaitée par Philippot et les siens, qui est un coup de poignard contre ceux qui ont mis dans le FN leurs dernières espérances pour les débarrasser de l’islam sur notre sol. Espérons que les militants auront l’occasion de se faire entendre, au prochain congrès de leur parti, le dernier week-end de novembre prochain, à Lyon…
Pendant ce temps là, de jeunes crétins lycéens, cherchant tous les prétextes pour sécher les cours, utilisent la mort de Rémi Fraisse, 21 ans, pour se la jouer rebelles. Ces imbéciles devraient réfléchir au nombre de jeunes garçons de leur âge qui tombent, tous les ans, victimes de coups de poignards, d’agressions gratuites et violentes. Ils devraient également enquêter sur l’explosion du nombre de viols, dans notre pays (Laurent Obertone parle de 200 par jour). Ces demeurés devraient s’interroger sur l’origine des agressés, et celle des agresseurs. Ils pourraient également, des fois qu’il leur pousse un cerveau, se poser des questions sur l’incroyable mansuétude de nombre de magistrats avec des multirécidivistes, et regarder qui compose nos prisons en majorité.
De même pourraient-ils se poser de bonnes questions sur ces vaillants juges, qui, après avoir condamné à 10 ans de prison une femme qui, depuis 47 ans, subissait les violences d’un mari qui avait violé chacune de ses filles, et a fini par le tuer pour survivre, viennent à nouveau de se distinguer en condamnant à la ruine une vieille dame de 76 ans, coupable d’avoir organisé des lotos caritatifs sans jamais avoir mis un centime dans sa poche ! Ayant un revenu mensuel de 650 euros, elle est condamnée à 120.000 euros d’amendes et à 6 mois de prison avec sursis. Bravo, vaillants magistrats d’Arras ! On espère que vous allez épingler cette nouvelle proie sur le Mur des Cons !
A comparer, comme le fait l’excellent site « Nouvelles de France », avec le sort réservé à Jean-Christophe Cambadélis : dans l’affaire Agos, une société gestionnaire de foyers de travailleurs immigrés, a bénéficié d’un emploi fictif, lui ayant rapporté près de 67 400 € [NdlR : 442 000 F], condamné à 5 mois de prison avec sursis et 15244 € d’amende [NdlR : 100 000 F]. Dans l’affaire de la MNEF, en récidive donc, c’est près de 95 000 euros [NdlR : 620 500 F] qu’il aurait touché dans les mêmes conditions, il est alors condamné à 6 mois de prison avec sursis et 20 000 euros d’amende pour recel d’abus de confiance.
Après un gain net de près de 147 000 euros de manière frauduleuse, pas un jour de prison et aucune peine d’inéligibilité, le petit Jean-Christophe est aujourd’hui premier secrétaire du parti socialiste, le parti au pouvoir en France, vice président du parti socialiste européen, et se permet de donner la leçon et de cracher sur les patriotes nationalistes.
Voilà ce que devient la France de Hollande, aussi minable que d’habitude dans sa dernière intervention, une lente dictature larvée, avec ses fachos et ses collabos, qui fait couler le pays, et qui n’est qu’à mi-parcours de son mandat, sauf si….
Pendant ce temps-là, Alain de Peretti sera à Thionville le 14 septembre, les Identitaires proposeront une meeting sur la remigration à Paris, le 15 novembre, à Paris, Pierre et Christine seront à un salon littéraire chrétien le 23 novembre, à Paris, et notre fondateur interviendra, en présence d’Oskar Freysinger, en Suisse, le 27 novembre. Et tous les jours, les sites de réinformation, Fdesouche et TV-Libertés en tête, mais aussi Radio Courtoisie, Boulevard Voltaire, Délit d’images et bien d’autres, défendent au quotidien, malgré le harcèlement judiciaire dont certains sont l’objet, leur liberté d’expression, au service de la France.
Ils sont, pour beaucoup d’entre eux, victimes d’un véritable harcèlement judiciaire, de la part de ceux qu’Eric Zemmour appelle les nouveaux commissaires politiques staliniens, les prétendus antiracistes, et de procureurs dhimmis. Ils le savent, mais ne se laissent pas intimider, et refusent de se taire.
Plutôt mourir que renoncer à s’exprimer librement, ces paroles prononcées par Geert Wilders résument la réalité de leur combat, même s’ils adorent la vie, et entendent profiter au mieux de tous ses charmes.