Angélique Leroux et Amandine Gilles ont donc contraint une adjointe au maire de Bollène à participer à une parodie de mariage mardi 10 septembre 2013, afin d’éviter une “éventuelle sanction pénale” à Marie-Claude Bompard. Le droit à l’objection de conscience ? Il est resté au backroom…
Vengeance. Outre le ridicule, pour ne pas dire la vulgarité de la cérémonie, une des deux femmes (au look très masculin) a déclaré : « Il n’y aura pas de pardon. Ce que cette femme a fait… Il n’y aura pas de pardon, ça c’est une chose qui est certaine. » Elle parlait du maire de Bollène qui fait l’objet d’une enquête préliminaire du parquet de Carpentras pour “obstruction à la loi par une personne dépositaire de l’autorité publique”.
Singerie. Après la cérémonie, l’adjoint aux Finances André-Yves Beck a déclaré à la presse : « Pour vous c’est un mariage ? Fort bien et non pas pour moi. J’espère que vous m’accordez le droit de ne pas le penser. »
Le mariage unissant l’homme et la femme, Angélique Leroux et Amandine Gilles ne sont donc pas mariées, même si la loi le leur fait croire. Au fond d’elles, y croient-elles seulement ? Si oui, c’en est presque pitoyable…
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