Bryan Fischer, directeur de l’analyse des enjeux au sein de l’American Family Association le clamait dans le vide ou sous les moqueries des organisations gays, le blogueur canadien Normand Lester le rappelle dans son dernier post : le parti national-socialiste des travailleurs allemands était à l’origine un club social gay dominé par un ex-prostitué bisexuel nommé Adolf.
“À ses débuts, toute la direction du parti nazi était constituée de déviants sexuels ou d’homos”, note-t-il. D’ailleurs, “seuls des homosexuels pouvaient accéder au poste d’officier dans les SA.” “Un des principaux lieutenants de Hitler à l’époque, Julius Streicher, était un pédophile sadique bisexuel et un tortionnaire. Lui aussi se déplaçait toujours avec un fouet. Comme Röhm, Streicher était un violeur d’enfants. Les deux étaient des amis intimes de Hitler. Streicher éditait des revues pornographiques dans lesquelles paraissaient régulièrement des récits impliquant des meurtres rituels d’enfants et des viols de femmes.”
Hitler était-il homosexuel ? Normand Lester rappelle que Hitler “a vécu dans des maisons de chambres et des hôtels connus pour accueillir des homos” et “notamment à l’Hôtel Mannheim, fréquenté par des homosexuels juifs bourgeois. « Der Schone Adolf » — « le beau Adolf » comme on l’appelait — était fiché à la police de Vienne comme un « pervers sexuel » et comme un individu qui s’adonnait à des « pratiques homosexuelles ». (…) Son dossier militaire de la Première Guerre mondiale l’identifiait comme « pédéraste ». C’est ce qui expliquerait que, malgré sa bravoure et ses capacités de leadership, il ne dépassa jamais le grade de caporal.”
Autre indice, le dirigeant nazi “considérait comme une de ses possessions les plus précieuses une lettre d’amour manuscrite de Louis II de Bavière à son valet.” Si on est certain qu’il aimait les adolescentes, on attribue généralement à Adolf Hitler des liaisons avec trois hommes : Ernst Röhm, Rudolf Hess, son secrétaire particulier, et Albert Forster, le gauleiter de Danzig que Hitler appelait affectueusement « Bubi », un sobriquet que les homosexuels allemands de l’époque réservaient à leur amant…
Le chef des SA Ernst Röhm aurait d’ailleurs voulu faire chanter le Führer, ce qui expliquerait son assassinat et le massacre de tout l’état-major homosexuel des SA lors de la « Nuit des longs couteaux » en 1934. Bizarrement, Adolf Hitler n’est jamais cité dans les listes d’homosexuels célèbres établis par certains sites gays.
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