Cosse veut imposer les migrants chez les particuliers !

Aujourd’hui c’est un appel au volontariat. Demain ce sera avec compensation financière, comme pour les magnifiques familles qui accueillent des enfants de la Dass et ont une petite indemnité pour les frais. Après-demain ce sera avec chantage aux impôts, aux amendes… Voire sur réquisition. Voyons madame, vous vivez seule dans votre 100 mètres carrés ? Alors que tant de gens sont à la rue ? Mais c’est inconcevable… Réquisition ! Au bout du bout, ce sera ça ou l’expulsion. On les connaît comme si on les avait faits, les salauds qui nous gouvernent.
Ils sont débordés, dépassés par la situation qu’ils ont créée, qu’ils ont voulue et qu’ils continuent à vouloir puisqu’ils n’envisagent pas une seconde de remettre en question Schengen et encore moins de faire comme Orban, mettre des murs, réels ou symboliques à nos frontières. Qui sont de vraies passoires, comme nous en lisons les témoignages ici, dans les articles et commentaires.
Alors, la situation en France ? Elle est dramatique. La France est envahie, les Français payent, financièrement, et moralement, avec de l’insécurité, avec encore plus d’islamisation…
Contraint de réagir, le gouvernement est en train de redimensionner l’accueil dans l’urgence. Lancée en novembre 2015, la politique de création de centres d’accueil et d’orientation (CAO), offrant aux nouveaux arrivants une solution dans l’attente d’un hébergement durable, s’accélère. « Nous allons, avant la fin septembre, plus que doubler les capacités de ces centres de répit, en passant de 2 000 à 5 000 places. Toutes les grandes villes ont accepté cet accueil, l’un des objectifs étant de désengorger les territoires très sollicités », annonce au Monde Emmanuelle Cosse, ministre du logement et de l’habitat durable, chargée de ce dossier avec le ministre de l’intérieur, Bernard Cazeneuve. « Les campements ne satisfont personne, ni les migrants, ni les riverains, ni les élus. Nous devons accueillir dignement ces réfugiés, c’est une priorité et un engagement international », réaffirme-t-elle.

A terme, cinquante nouvelles structures s’ajouteront aux 147 existantes – elles sont réparties sur tout le territoire, couvrant ainsi 78 départements. Pierre Henry, directeur général de France terre d’asile (FTA), estime les besoins à 500 places par ville dans une trentaine d’entre elles. « S’[ils] sont supérieurs, nous nous adapterons et nous irons plus loin », assure Mme Cosse.

Le 29 juin, les préfets avaient reçu instruction de recenser les lieux possibles, avec la consigne que ces structures soient d’au moins cinquante places et d’un coût limité à 25 euros par jour et par personne. Ils ont soumis leurs propositions aux élus et 126 millions d’euros ont été débloqués. « Au-delà des crédits, se pose la question des locaux et des associations sur place pour gérer ces centres en respectant la charte de qualité adoptée le 28 juillet », précise Mme Cosse. Elle se dit attentive à l’accompagnement mais aussi à la présence d’un équipement Internet, indispensable pour l’accès aux droits. « Les CAO fonctionnent bien : 80 % des migrants accueillis font leur demande pour un asile en France », se félicite-t-elle.

La proposition de Cosse ? Elle va faire les choux gras… non pas des familles mais des associations qui auront été l’interface entre réfugiés et famille d’accueil, 1500 euros par réfugié pour l’association… C’est le Sans-dent qui paye, allons-y, ne nous gênons pas. Je sens que les associations suceuses de contribuables vont continuer de pulluler… Leur travail essentiel sera de veiller à ce que les familles volontaires traitent bien les réfugiés « médiation interculturelle » traduisez coran, prière, pas de porc ni d’alcool dans la maison, femmes vêtues pudiquement… Ou comment imposer, en sus du pseudo réfugié la charia à chacun chez lui.
Un accueil encadré. « Cet appel à projets concerne des personnes majeures, volontaires, ayant obtenu le statut de réfugié. Elles seront logées à titre gratuit, sur tout le territoire national et dans des logements comportant au moins une chambre privative. Une convention devra être signée entre le réfugié, le ménage d’accueil et l’association qui les accompagne. Les futurs hôtes s’engagent pour une durée minimum de 3 mois et jusqu’à un an », a détaillé la ministre dans un communiqué.

« De leur côté, les associations sélectionnées vont identifier les réfugiés susceptibles de participer à ce dispositif, recenser les propositions d’accueil, procéder à la mise en relation et assurer le suivi social des personnes hébergées. Pour que ce dispositif soit une pleine réussite, les associations seront particulièrement vigilantes sur les conditions matérielles de l’hébergement. Elles auront également la charge de bien informer les hôtes et les réfugiés ainsi que de préparer la rencontre (sensibilisation à la médiation interculturelle, échanges…) », a-t-elle ajouté.

Je ne plains pas les familles de dhimmis et d’imbéciles heureux qui vont accepter ce marché de dupes, je les accuse au contraire d’être les complices de notre envahissement, de notre extermination. Je me marre en imaginant ce qui va se passer dans pas mal de maisons, et le sentiment de certains d’être pris au piège, engagés par leur contrat à garder le réfugié entre 3 mois et un an…
Par ailleurs, que devient le migrant, abusivement appelé réfugié au bout de ce temps-là ?

Le migrant, alors, ne sera plus un demandeur d’asile, il aura reçu le statut officiel de réfugié qui lui donnera un accès prioritaire à une formation, un emploi, un logement HLM et même à la nationalité française. Il libèrera donc de la place pour que d’autres « demandeurs d’asile », fussent-ils terroristes, viennent s’installer chez nous. Et d’ici là, les uns avec le bâton, d’autres avec la carotte, de très nombreuses familles françaises auront ouvert leurs portes…
Sauf si nous votons massivement pour Marine Le Pen en 2017, notre seule chance de trouver une solution politique et pacifique à une situation plus qu’explosive.

Résistance républicaine

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