Yves Jégo : “je crains que la présidence Hollande n’aille pas à terme”

34 Comments

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  la lorgnette , 13 juillet 2014 @ 11 h 21 min

  Ce que je crains le plus,c’est un duel Hollande /Le Pen2017 avec une courte victoire de Normalescu favorisée par la déconfiture de l’UMP qui va reprendre le rôle de perturbateur autrefois dévolu au FN.Le squatter de l’Elysée peut être serein.
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  berol60 , 13 juillet 2014 @ 15 h 26 min

  Où sont-ils ? qui sont-ils ?
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  berol60 , 13 juillet 2014 @ 15 h 29 min

  Non ! ils ont refusé. Allah leur a interdit.
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  eric-p , 13 juillet 2014 @ 16 h 35 min

  Il n’est pas certain que l’Etat dépense “un max” pour le plaisir.
  Ils dépensent de l’argent pour maintenir la cohésion sociale,
  c’est à dire éviter les grèves qui aboutiraient à la paralysie générale du pays.
  Ainsi, on peut tout de même constater que les dépenses militaires sont régulièrement rongées depuis la fin de la guerre froide.
  Il y a certainement plusieurs causes à la crise que nous traversons:

  -La concurrence internationale déloyale (Dans certains pays, les salariés sont payés au lance-pierre)

  -La mauvaise gestion de certaines entreprises privées

  -Le vieillissement de la population

  -La rupture des français avec les valeurs traditionnelles

  -etc…

  En occident, la plupart des pays sont surendettés.
  Seuls quelques Etats de l’OCDE parviennent à tirer leur épingle du jeu.

  Pour redresser la situation économique du pays, il faudrait
  que le pays consente d’importants sacrifices financiers et
  AUCUN politique n’a le courage de prendre ces mesures.
  Tout le problème est là….
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  eric-p , 13 juillet 2014 @ 16 h 38 min

  Il y a du vrai dans ce que vous dites mais reconnaissez que le système dit de
  “démocratie” est en réalité une course à la démagogie…d’où les résultats aux élections…
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  Goupille , 13 juillet 2014 @ 18 h 14 min

  Mais bien sûr. Nous ne craignons pas, nous : nous nous réjouissons à l’idée que.
  Car nous craignons pour notre pays, nos enfants et nous-mêmes, nous. Pas pour la déstabilisation d’un fumeux échiquier politique.

  La courtoisie et les pudeurs de langage finissent par être révélatrices des indifférences glacées.

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