Le ministre de l’Education a assuré dimanche avoir “entendu les inquiétudes” qui planent sur certains enseignements en raison de la réforme des collèges, comme sur l’allemand, et a décidé de jouer la carte de l’apaisement en tentant de rassurer ses détracteurs, sans grand succès pour l’instant. Française depuis seulement 1995, elle ne semble pas bien comprendre les réactions des professeurs et des Français devant, notamment, la suppression de facto des enseignements du latin et du grec ancien :
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