LES GLACANTES PREDICTIONS DE JACQUES ATTALI ECRITES EN 1981 !
Voici un extrait du livre, « L’avenir de la Vie » de Michel Salomon, journaliste et médecin qui avait en 1981 interviewé vingt savants dont sept prix Nobel et qui relate ainsi sa conversation avec Jacques Attali, alors conseiller de François Mitterrand. Un entretien qui donne la chair de poule alors que sévit dans le monde la Covid19. Surtout après les révélations que vient de faire Philippe de Villiers dans son dernier ouvrage : « Le Jour d’Après » dans lequel il nous apprend que le 18 octobre 2019 un exercice de simulation d’une pandémie de coronavirus avait été organisé par Bill Gates, des Big Data, des labos etc..
Je donne la parole glaçante à Jacques Attali. Ce penseur à tout faire, philosophe, économiste, homme politique, se transforme ainsi en Nostradamus. Un Nostradamus macabre adepte de la guillotine numérique. Sinistre mais d’une remarquable intelligence, créateur d’un président de la République en la personne d’Emmanuel Macron. Lisons-le, c ‘est à peine croyable :
“A l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides.
Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. On ne pourra bien sûr par exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux.
Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien !
Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités.
Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir.”
Philippe de Villiers cite un autre écrit datant de 2002,qu’il a retrouvé sur le blog de Jacques Attali : « L’Histoire nous apprend que l’humanité n’évolue significativement que quand elle a vraiment peur…La pandémie qui commence pourrait déclencher une de ces peurs structurantes. (…) On devra mettre en place une police mondiale, un stockage mondial et donc une fiscalité mondiale. On en viendra alors, beaucoup plus vite que ne l’aurait permis la seule raison économique, à mettre en place les bases d’un véritable gouvernement mondial. C’est d’ailleurs par l’hôpital qu’ a commencé en France au XVII ème siècle la mise en place d’un véritable état. »
Cette prémonition, nous la vivons depuis un an. Nous la subissons et tels des moutons de Panurge, docilement, nous nous laissons faire.
Évidemment, des députés comme Bruno Bonnell vont nous accuser de complotiste, lui qui vient d’insulter Philippe de Villiers après avoir visionné son entretien avec Apolline de Malherbe, vendredi dernier sur BFMTV. Voici son tweet révélateur d’un macronisme en perdition : « En écoutant Philippe de Villiers on se demande si c’est l’âge, l’alcool ou le racolage de son dernier pamphlet complotiste qui le fait insulter à peu près tout le le monde. Apolline héroïque de patience au café du commerce souverainiste ». Un drôle de député ce Bonnell !
Floris de Bonneville
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