La difficulté pour les petites formations de droite qui quittent le navire UMP reste le financement. Ainsi, selon la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques, le budget du Parti radical valoisien dépend pour 77% des subsides de l’UMP (1 million d’euros sur un total d’1,3 million en 2009). La Gauche moderne voit quant à elle 38% de son budget annuel provenir de la rue de la Boétie, le Parti chrétien-démocrate 33%.