À COURS D’IDÉES POUR RELANCER L’ADHÉSION À LA CAUSE DES « RÉFUGIÉS », LES MÉDIAS SE RÉFUGIENT UNE FOIS DE PLUS DANS L’ÉMOTIONNEL POUR ATTENDRIR LES BONNES ÂMES EUROPÉENNES.
Une récente vidéo publiée par le journal britannique The Guardian raconte ainsi, en musique, le parcours « épique » d’une famille de migrants venue d’Irak et… séparée de son chat en Grèce. Un chat, nommé « Kunkush », rapporté par des bénévoles jusqu’en Allemagne et restitué à la famille. Snif.
Dans la vidéo, sur un fond de guitare, on peut voir la famille en larmes enlacer son petit matou, disparu depuis son débarquement en Grèce.
Un exemple parfait de storing telling émotionnel, dans la veine de l’affaire du petit Aylan, qui s’intègre à merveille dans la ligne officielle des médias européens consistant à surtout mettre en avant des femmes et des enfants mais qui n’a malheureusement pas grand-chose à voir avec l’information.
Mais peut-être fallait-il au moins un mignon petit chat pour essayer de faire oublier les viols de Cologne…