Un homme brutalisé par le service d’ordre de François Hollande pour lui avoir rappelé ses promesses

Vidéo. Alors que François Hollande avait choisi Dijon pour visiter les quartiers « sensibles », un homme qui tentait de l’interpeller sur ses promesses de campagne, a été brutalement repoussé par le service d’ordre du chef de l’État. L’homme qui demandait « Monsieur Hollande, elles sont où les promesses ? », a été pris au col et entraîné sans ménagement par les gardes du corps de François Hollande. Avis à ceux qui souhaiteraient rappeler au Président de la République ses promesses…

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60 Comments

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  • Philippz , 12 mars 2013 @ 10 h 12 min

    Au moins, le “casse toi pauvre con” a été direct, sans expulsion. Les Français parlent au Français. On en parle encore. Qui sera informé de ce qui s’est passé à Dijon? Avec tous ces journaleux de gauche, l’affaire sera très vite étouffée. Et puis, qui se souvient de cette pauvre infirmière qui avait enfariné notre candidat “normal”? Elle a été vraîment jetée à terre, sans même un regard de Dugommier 1°. La suite, elle a été internée pendant 6 mois et ne trouve plus de boulot. (entrefilet dans Paris Match). A l’époque, je me suis insurgé, “c’est qui nous attend?” et bien on voit..

  • Bayle , 12 mars 2013 @ 10 h 59 min

    Voilà le véritable spectacle du socialisme ! La police intervient pour empêcher un citoyen de s”exprimer ! Cest la censure à tous mes étages !

  • LAUZE , 12 mars 2013 @ 11 h 04 min

    Le prix de la tartufferie revient au ministre Sapin qui ce matin sur France-info expliquait que cet incident montrait que “Moi, président normal” ne faisait pas retenir la foule à 200 mètres comme son prédecesseur.
    En réalité, ce que les médias disent peu, c’est que 300 dijonnais qui manifestaient pacifiquement, poliment et respectueusement contre la dénaturation du mariage ont, eux été maintenus à plus de 300 mètres de la Préfecture, dans la rue du même nom.

  • LAUZE , 12 mars 2013 @ 11 h 21 min

    Si Moi, Président normal “en avait” il aurait répondu personnellement à l’intéressé. Il aurait pu lui dire :”dégage, pauvre idiot”, voire plus crument: “casse toi pauvre con”.
    Au point de désamour qu’il connait, cela n’aurait pas changé grand chose.

  • ranguin , 12 mars 2013 @ 11 h 34 min

    La Russie a connu l’union soviétique. Cela viendrait-il chez nous ?

  • JSG , 12 mars 2013 @ 11 h 38 min

    La démocratie chez les socialistes consiste à laisser parle uniquement ceux qui adoptent le point de vue de Normal 1er, les autres sont tous des fauteurs de trouble.
    Voici comment commence une dictature, ensuite on prend vite goût à ne pas être importuné par les contradicteurs, on se laisse manipuler par ses conseillers, puis ce sont les médias que l’on encadre, puis ensuite on fait ce que l’on veut !

  • esprit libre , 12 mars 2013 @ 12 h 27 min

    Tout dans cette petite promenade est parlant.
    Un homme qui visiblement flotte dans le costume trop grand de chef d’Etat, que l’on entend peu, qui semble toujours avoir l’air absent… Un homme qui s’ennuie et vient donc se promener…
    Son parti – car c’est l’homme d’un parti, dont il a été l’apparatchik – son parti, donc, a emmené un cortège de militants – blanchis sous la harnais du bourrage de crâne – comme décors potemkine.
    Mais voilà, surgissent des militants trahis – tout le monde sera trahi, humilié ! Et ailleurs, d’autres avec leurs banderoles contre le mariage gay et le sacrifice des enfants… Car la seule chose dont s’occupe cet homme est de livrer sur un plateau la tête de la famille à ceux qui l’ont exigée.
    Cet homme a la vue qui baisse – rappelez-vous il est le seul avec le préfet de police à n’avoir pas vu un million de personnes le 13 janvier.
    Cet homme va-t-il quitter bientôt l’Elysée par une porte dérobée ? Aller à Baden-Baden ? Une ville de curistes pour vaincre son anémie…

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