Quatre jours après l’attaque du commissariat de la Goutte d’Or dans le 18e arrondissement de Paris, le corps de l’assaillant a été formellement identifié. Le cousin de Tarek Belgacem, qui vit en France, se pose des questions, il évoque une possible bavure. La famille Belgacem va porter plainte, en France et en Tunisie, pour tenter de comprendre ce qui s’est passé, elle refuse de croire que le jeune Tarek, passé par l’Allemagne où il vivait dans un centre d’hébergement, était radicalisé :
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