“Menteur ou voleur? Peut-être les deux.” avait dit de lui Roselyne Bachelot…
Claude Guéant a côtoyé, quarante années durant, ministres, patrons, artistes et chefs d’État. Il a fait, comme il dit, « partie du cercle des puissants », sans cesser d’aller à la rencontre des « Français ordinaires ». Une vie de travail et de dévouement riche de rencontres, mais qui lui a valu aussi la rancune et la calomnie.
Le « grand commis de l’État » n’a rien oublié. Et il n’entend rien cacher. Ayant recouvré sa liberté de parole, il s’exprime aujourd’hui en toute liberté sur les dossiers dans lesquels son nom a été cité – l’« affaire Kadhafi », la perception de primes de cabinet en liquide, la vente prétendument fictive de tableaux de maître –, dénonçant l’instrumentalisation dont il a été l’objet.
Sa proximité avec Nicolas Sarkozy fait en outre de lui un témoin privilégié de son quinquennat, dont il tire le bilan. Claude Guéant évoque dans ce livre les affaires criminelles auxquelles ses fonctions l’ont confronté : la prise d’otages de l’école maternelle de Neuilly, la traque d’Yvan Colonna, les assassinats de Merah à Toulouse et Montauban – ainsi, bien sûr, que l’opération militaire de la France en Libye.Les confessions de celui qui fut surnommé « le Cardinal » dévoilent un pan de notre histoire.
Le « grand commis de l’État » n’a rien oublié. Et il n’entend rien cacher. Ayant recouvré sa liberté de parole, il s’exprime aujourd’hui en toute liberté sur les dossiers dans lesquels son nom a été cité – l’« affaire Kadhafi », la perception de primes de cabinet en liquide, la vente prétendument fictive de tableaux de maître –, dénonçant l’instrumentalisation dont il a été l’objet.
Sa proximité avec Nicolas Sarkozy fait en outre de lui un témoin privilégié de son quinquennat, dont il tire le bilan. Claude Guéant évoque dans ce livre les affaires criminelles auxquelles ses fonctions l’ont confronté : la prise d’otages de l’école maternelle de Neuilly, la traque d’Yvan Colonna, les assassinats de Merah à Toulouse et Montauban – ainsi, bien sûr, que l’opération militaire de la France en Libye.Les confessions de celui qui fut surnommé « le Cardinal » dévoilent un pan de notre histoire.