Les conditions de détention de Nicolas : «enfermé avec deux transsexuels ayant un rapport anal»

Elle sont précisées par Me Pierre-Philippe Boutron-Marmion, cité par Le Figaro du jour :

« Que serait-il advenu de lui si des députés n’étaient pas venus le visiter en prison (occasionnant le changement de ses conditions de détention déplorables, NDLR), si la population ne s’était pas indignée, si des “veilleurs” ne s’étaient pas mobilisés ? Nicolas Bernard-Buss, pour avoir usé de sa liberté d’expression, a été un numéro d’écrou : 404247, voilà la réalité du dossier, un traitement inadmissible, enfermé dans une cellule de cinq personnes avec deux transsexuels ayant un rapport anal, des plateaux-repas renversés et jetés comme à des chiens. »

À noter que le site homosexuel Yagg juge l’anecdote “cocasse”…

Selon Le Figaro, les trois avocats de Nicolas ont déjà fait savoir qu’ils demanderaient réparation pour les vingt jours de détention de leur client et « le traitement qui lui a été infligé ». Ils vont étudier « les mille hypothèses juridiques », promet l’un deux.

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67 Comments

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  • olivier , 11 juillet 2013 @ 21 h 22 min

    Vive le Roy…
    France, fille aînée de l’Eglise qu’a tu fais de ton baptême?

  • olivier , 11 juillet 2013 @ 22 h 11 min

    2 fautes d’orthographe ; j’ai honte.
    L’émotion….

  • Louis A. F. G. von Wetzler , 11 juillet 2013 @ 22 h 59 min

    Il n y a rien changé des temps de la terreur, sont les mêmes conditions affreuses qui ont vécu la Reine Martyre Marie Antoinette, comme sa soeur Madame Élisabeth de France et de millier de prisonniers de la terreur. Peut être Valls, Hollande voudraient avoir sur place la guillotine une fois de plus?

    (Mémoires de Madame de Tourzel, la Conciergerie) “L’humidité de la pièce, où l’on avait enfermé la prisonnière, était affreuse. L’eau de la Seine, par infiltration, montait dans les murs.

    « L’insalubrité de la chambre était telle, dira Mme Bault qui succédera à Mme Richard dans ses fonctions de concierge, que la robe noire de Sa Majesté, la seule qu’elle pût mettre alternativement avec sa robe blanche, tombait en lambeaux. Ma fille aînée y mit une bordure neuve. J’en recueillis les vieux morceaux et les distribuai à plusieurs personnes qui me les demandèrent avec instance. »

    Le concierge Bault fit clouer contre la paroi du cachot une vieille tapisserie qu’il avait été chercher dans les greniers de la prison de la Force ; mais quand les membres du Comité de Salut public, en tournée d’inspection, remarquèrent ce témoignage de sympathie donné à la pauvre détenue, ils en exprimèrent leur indignation et le concierge dut recourir à un mensonge – empêcher que des bribes de conversation ne fussent entendues de la chambre voisine – pour que le lit de la reine, appuyé au mur, fût un peu garanti contre l’eau qui en suintait.

    Le 19 août 1793, Michonis, administrateur de la police, demanda aux officiers municipaux qui composaient le service du Temple, de faire passer à la Conciergerie, pour la reine, quatre chemises et une paire de souliers dont elle avait un urgent besoin.

    « Ces quatre malheureuses chemises, écrivent les Goncourt, bientôt réduites à trois, ne seront délivrées à la reine que de dix jours en dix jours. La reine n’a plus que deux robes qu’elle met de deux jours l’un. Sa pauvre robe noire, sa pauvre robe blanche, pourries toutes deux par l’humidité de la chambre… Il faut s’arrêter ici : les mots manquent. »

  • ISTINA , 11 juillet 2013 @ 23 h 49 min

    TAULE est le mot approprié !!!

  • Eurydice , 12 juillet 2013 @ 4 h 22 min

    Les transexuels ne couchent pas entre eux. Deux transexuels ensemble dans une cellule sont sœurs, ennemies ou amies, car chacun tient à prouver qu’il est plus femme que l’autre, donc plus proche de leurs aspirations communes. Le transexuel est par définition en transit entre deux identités sexuelles. Or, en voyage, nul n’est censé rester indéfiniment dans une gare ou un aéroport de transit. Ces personnes sont des travestis, sans doute siliconés. Mais pas des transexuels! Le transexuel, né homme ou femme, rêve d’histoires d’amour ou de sexe avec des personnes qu’il considère comme appartenant à l’autre sexe. Il arrive que des transexuels se proclament lesbiennes. Mais, au moins, attendent-ils d’avoir été débarrassés de ce qui leur pend entre les jambes! La façon dont les lobbies LBGT ont englobé les transexuels dans leur sigle est une escroquerie mentale, une vacherie bien calculée qui les enferme dans la même catégorie que les travestis de chez Michou ou les brésiliens du Bois de Boulogne. Or ces derniers, pour 80% d’entre eux, une fois qu’ils ont remboursé leurs frais de passage et mis un pécule de côté, se font enlever les prothèses mammaires et rentrent au pays retrouver, pour certains une femme et des enfants, pour d’autres une banale vie d’homosexuels . Une entourloupe, donc, déguisée en solidarité pour se venger du mépris que les vrais transexuels ne se privent jamais d’afficher à l’encontre des homosexuels. Car encore une fois, le transexuel homme ou femme ne rêve que d’une chose une fois opéré(e): rentrer dans le rang d’une vie discrète, en tant que ce qu’il ou elle croit être devenu (e), dans un monde où les hommes sont des hommes et les femmes des femmes. Certainement pas fréquenter les “back-rooms” des boîtes à homos et encore moins les “Gay Prides.” Sinon, à quoi servirait-il qu’ils ou elles se décarcassent pour aboutir au “billard” des chirurgiens?

  • Diadia , 12 juillet 2013 @ 8 h 30 min

    Les Français sont puni d’avoir coupé les têtes du roi et de la reine. Ils ont Hollande et le mariage gay. L’avenir est prometteur.

  • monhugo , 12 juillet 2013 @ 16 h 02 min

    La malheureuse reine mettra plus d’une heure à traverser la place de la Révolution (place de la Concorde aujourd’hui) sous les sarcasmes et invectives d’une foule haineuse, une fois descendue de la charrette l’amenant depuis la Conciergerie au lieu de son exécution. Elle subit la guillotine avec le courage et l’élévation d’âme du reste de la famille royale sacrifiée sur l’autel de l’idéologie, Louis XVI début 1793 et la douce Madame Elisabeth, sa belle-soeur et compagne de captivité au Temple, l’année suivante. Le jeune Louis XVII, enfant martyr, mourra lui dans des conditions atroces en juin 1795, à l’âge tendre de 10 ans, claquemuré dans une cellule infecte au Temple, alors que la Terreur était pourtant terminée…. On sait que seule Madame Royale sortira libre du Temple (échangée contre des prisonniers français faits par les Autrichiens), mais à jamais brisée (le jour de ses 17 ans, en décembre 1795, après plus de 3 ans de captivité et la mort de tous les siens). Anecdote (dont l’authenticité n’est pas confirmée cependant) : la reine, marchant inopinément sur le pied de Sanson, le bourreau qui allait officier, l’aurait prié avec une prévenance et une politesse infinies de bien vouloir l’en excuser…. La République, ou plutôt la Gueuse, a commis tant de crimes, sans raisons et sans excuses, elle…

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