La face cachée du père des SAS. Qui était vraiment le pape de l’espionnage à la française ? Entre ombres et mystères, retour sur la vie de l’homme qui a vendu plus de 100 millions de livres.
Qui se cachait derrière les fameuses trois lettres dorées SAS présentes sur des millions d’exemplaires ? Ce livre répond à cette question et brosse un portrait sans concession de Gérard de Villiers. Ses faits d’armes, ses déclarations incendiaires ou ses zones d’ombre, tout y passe, grâce à une quarantaine de témoignages de personnes l’ayant côtoyé de près, dont Hubert Védrine, Philippe Bouvard, Jean-Marie Le Pen ou Claude Lanzmann. Ses amis, ses ex-femmes, ses enfants, des confrères, tous ont parlé à Benoît Franquebalme qui signe, dans un style journalistique et volontiers ironique (à l’image de Gérard de Villiers lui-même), la première biographie du pape de l’espionnage à la française.
Journaliste depuis 1997, Benoît Franquebalme a débuté à La Provence avant d’être diplômé de l’Institut pratique de journalisme de Paris en 2000. Depuis 2004, il travaille pour la presse magazine. II a notamment été reporter à France Dimanche, titre où Gérard de Villiers a passé seize ans. II est aujourd’hui journaliste culturel pour Le Parisien Week-End, Marianne et Vice.
Gérard de Villiers, son altesse sérénissime de Benoît Franquebalme, éd. Plon, 19,90 €.