Dans un ouvrage intitulé « La royauté de l’homme » Henri d’Orléans, se fait le porteur d’un vision particulièrement sombre d’un monde «sinistre comédie où l’être humain n’est plus que le pion d’un jeu de Monopoly planétaire ».
Le comte de Paris n’hésite pas à faire le constat d’une nation française confrontée à une profonde crise d’identité et dont la souveraineté est cédée à des pouvoirs mondialisés.
Pour sortir la France de cette ornière, Henri d’Orleans prêche pour un retour du spirituel et affirme que la monarchie peut apparaitre comme une idée neuve pour affronter l’avenir. En quelque sorte, un Roi pour incarner l’harmonie de la société et l’unité nationale.
Le comte de Paris évoque aussi les querelles dynastiques, son père et sa famille en exil, le jeu de De Gaulle, et sa rencontre avec… Arlette Laguiller.
Henri d’Orleans se veut l’héritier d’un tradition qui l’oblige envers les Français et poursuit inlassablement, même isolé, sa mission.