Interrogée mercredi par Jean-Jacques Bourdin sur RMC, Frigide Barjot, une des porte-paroles du collectif “La Manif pour Tous” a déclaré suite au collage d’affiches du Printemps français sur l’espace des Blanc-Manteaux :
“Il sera poursuivi, le Printemps français. Je vous le dis solennellement, aujourd’hui. Poursuivi pour vol d’affiches, pour agression effectivement, vol de nos affiches, vol de notre logo, vol de notre slogan, “On ne lâche rien”, qui était aussi à Monsieur Mélenchon parce que nous sommes tous des convaincus qu’il ne faut rien lâcher.”
Des propos mensongers quand on sait qu’une majorité des participants au collage d’affiches à l’espace des Blanc-Manteaux sont des membres de La Manif pour Tous, ce qui explique qu’ils avaient avec eux des affiches du collectif, qu’ils n’ont évidemment pas volé. Pour ne pas mettre en difficulté LMPT, Nouvelles de France ne dira pas ici qui, d’ailleurs, a eu l’idée de cette action…
Inutile aussi de préciser qu’il n’y a pas eu d’« agression” de la part de ces jeunes cette fameuse nuit ou après. Même la gauche n’a pas osé utiliser ce terme contre eux… Quant au slogan, il est né dans un bureau du Sénat. Enfin, des sources internes du collectif LMPT affirment qu’aucune action n’est, en réalité, envisagée contre le Printemps français “même si Frigide Barjot en est capable. Elle est complètement imprévisible”, nous confie un de ses proches, inquiet qui ajoute : “Elle est complètement incontrôlable”. Le lobby LGBT doit se frotter les mains…
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