Un internaute m’a envoyé un texte que je soumets à votre approbation….. C’est une véritable question de conscience….
J’avais mis en titre: Se défendre ou se laisser tuer ?
Finalement je me suis ravisé, car les français ont tellement le cerveau déformé, qu’ils vont encore faire des interprétations les plus déformées….. Alors j’ai opté pour le titre moins provocateur: Se défendre ou laisser faire.
Ma position, défendez-vous, c’est légitime, mais n’attaquez pas, et à fortiori surtout si ce n’est pas justifié…. Je ne suis pas un exemple, mais je me défends et je me bats contre cette saloperie d’islam maintenant que j’en connais les tenants et les aboutissants….. mais jusqu’à preuve du contraire je ne prends pas les armes à feu, des couteaux, des haches, des tomahawk et que sais-je encore ? Tenez je vais vous donnez encore une citation à méditer: Aimez vos ennemis. Les musulmans sont-ils nos ennemis ? Oui ils sont nos ennemis, c’est d’ailleurs le propre de leur koran: Ne prenez pas pour amis les gens du livre…. Frappez-les au cou…. enfin je passe…. Sachez que les musulmans sont les premières victimes de leur fausse idéologie…. Apprenez à les soigner, à les guérir… Ce n’est pas toujours facile, surtout lorsque la victime est enrôlée déjà en étant bébé comme je vous le montre par le fichier ci-joint… Retenez également que l’islam est la seule fausse religion au monde avec un vade mecum comportant pas moins de 250 paragraphes ou versets obligeant son adhérent à tuer son semblable. Du jamais vu dans toute l’histoire de l’humanité.
André
Droal , 12 mars 2017 @ 9 h 04 min
Tous ceux qui ont dit « non » au Référendum du 29 mai 2005 sur la Constitution de l’€urope ou “Espace Schengen” seront d’accord avec sa vision prophétique de l’Europe que De Gaulle a communiqué à Alain Peyrefitte en quatre points (Pages 61, 62, 63, 64 dans “C’était De Gaulle” – vol.1).
Je suis reçu par le Général le 27 janvier 1960. Il me déclare tout de suite, avec de la tristesse dans la voix :
« Voyez-vous, il n’y a pas beaucoup de véritables Européens. Je me demande quelquefois si je ne suis pas le seul. Il y a des gens qui cherchent des places et des avantages.
« Il y a Luns (Ministre des Affaires étrangères néerlandais), qui veut faire l’Europe, à condition qu’il y soit le cheval de Troie des Anglo-Saxons. Il y a Spaak (Ministre des Affaires étrangères belge), qui essaie de contenir les forces centrifuges de la Belgique en l’entourant d’un bunker européen. Il y a Adenauer, qui préférerait éviter que l’Allemagne se réunifie, en intégrant l’Allemagne de l’Ouest à l’Europe occidentale et en renvoyant aux calendes la possibilité d’un accord avec l’Allemagne de l’Est. Pour ces deux là, l’Europe, ça serait commode : vous pensez, ça empêcherait l’éclatement de la Belgique et l’unification de l’Allemagne. Il y a Pflimlin, qui veut favoriser la position de Strasbourg pour le siège, au détriment de Paris, que tout le monde sauf lui trouverait plus pratique. Tous, ils ne veulent de l’Europe que parce que ça arrange leurs petites affaires. Moi, je veux l’Europe pour qu’elle soit européenne, c’est-à-dire qu’elle ne soit pas américaine.
AP. – Vous vous êtes toujours fait une certaine idée de la France : vous êtes-vous toujours fait, de même, une certaine idée de l’Europe ?
GdG. – Je n’ai pas attendu que les illuminés de la Haye (En 1948, un congrès à la Haye avait donné naissance au Mouvement européen. Les plus importants des hommes politiques des démocraties occidentales s’y étaient réunis. La majorité des parlementaires, dans les pays concernés, adoptèrent avec enthousiasme le credo de La Haye) aient découvert qu’il y avait une Europe et qu’elle pouvait et devait s’organiser. Reprenez mes textes d’avant-guerre, de la guerre et de l’après-guerre, vous constaterez que j’ai toujours préconisé l’union de l’Europe. Je veux dire l’union des États européens. Lisez ce que j’en dis depuis plus d’un quart de siècle – il y aurait peut-être avantage, d’ailleurs à regrouper ces textes. Je n’ai pas varié. Je souhaite l’Europe, mais l’Europe des réalités ! C’est-à-dire celle des nations – et des États, qui peuvent seuls répondre des nations.
AP. – Si vous ne voulez pas d’une Europe intégrée et supranationale, comment voyez-vous pratiquement l’union européenne ?
GdG – Les lignes directrices sont claires comme le jour. Pour les détails, nous nous verrons une autre fois, quand j’aurais plus de temps ; voici le principal.
« LA PREMIÈRE IDÈE, c’est qu’il faut que l’Europe occidentale s’organise, autrement dit que ses États se rapprochent, d’Amsterdam à la Sicile, de Brest à Berlin, de façon à former un noyau capable d’attirer les autres et de faire contrepoids aux deux mastodontes, les États-Unis et la Russie. Tant que nos pays restent dispersés, ils sont une proie facile pour les Russes, comme les trois Curiaces face à Horace ; sauf si les Américains les protègent. Ils ont donc le choix entre devenir des colonies russes, ou des protectorats américains. Ils ont préféré la seconde solution et on comprend qu’elle ait d’abord prévalu. Mais ça ne pourra pas durer éternellement. Il est donc urgent qu’ils s’unissent pour échapper à cette alternative. Il faut commencer par ces cinq ou six pays, qui peuvent former le noyau dur ; mais sans rien entreprendre qui puisse barrer la route aux autres, l’Espagne ? LE Portugal ? L’Angleterre si elle arrive à se détacher du Commonwealth et des États-Unis, un jour la Scandinavie, et pourquoi pas la Pologne et les autres satellites quand le rideau de fer finira par se lever.
« LA DEUXIÈME LIGNE DIRECTRICE, c’est que l’Europe se fera ou ne se fera pas, selon que la France et l’Allemagne se réconcilieront ou non. C’est peut-être fait au niveau des dirigeants ; ce n’est pas fait en profondeur. Il n’y aura pas de construction européenne si l’entente de ces deux peuples n’en est pas la clef de voûte. C’est la France qui doit faire le premier geste, car c’est elle, en Europe occidentale qui a le plus souffert.
AP. – Les Pays-Bas, la Belgique, la Grande-Bretagne, ont souffert aussi…
CdG. – Ce n’est pas pareil. La France a souffert plus que les autres, parce qu’elle est le seul pays dont le gouvernement légal ait collaboré avec l’ennemi. D’autres ont été occupés, d’autres ont subi des privations ou des exactions. Mais aucun autre n’a vu ses dirigeants vendre son âme. Les peuple hollandais, belge, etc., regardaient vers Londres, où leurs gouvernements s’étaient exilés. C’est là que s’étaient transportés leur légitimité et leurs espoirs. Ils ne doutaient pas de la voie à suivre. Ils n’étaient pas divisés en profondeur. Le mal qu’a fait Vichy, c’est de vouloir faire croire aux Français que la France allait s’en tirer en collaborant, et même qu’elle avait intérêt à la victoire de l’Allemagne.
« Voilà pourquoi la France a souffert plus que les autres : parce qu’elle a été plus trahie que les autres. Voilà pourquoi elle est seule à pouvoir faire le geste du pardon. L’Allemagne est un grand peuple qui a triomphé, puis qui a été écrasé. La France est un grand peuple qui a été écrasé, puis a été associé au triomphe. Il n’y a que moi qui puisse réconcilier la France et l’Allemagne, puisqu’il n’y a que moi qui puisse relever l’Allemagne de sa déchéance.»
(« Grand peuple ! » Je songe au récit que m’a fait Jean Laloy, mon aîné du Quai d’Orsay, qui accompagnait, à la fin de 1944, en qualité d’interprète, de Gaulle en URSS. Les autorités soviétiques lui faisaient visiter le champ de bataille de Stalingrad. Le Général regardait au loin les ruines encore intactes. Il laissa échapper : « Quel grand peuple ! » Laloy traduisit aussitôt aux accompagnateurs soviétiques, qui manifestèrent leur satisfaction. Le Général précisa alors : « Je parle des Allemands. »)
Le Général reprend : « LA TROISIÈME IDÉE DIRECTRICE,
c’est que chaque peuple est différent des autres,
incomparable,
inaltérable.
Il doit rester lui-même,
tel que son histoire et sa culture l’on fait,
avec ses souvenirs,
ses croyances,
ses légendes,
sa foi,
sa volonté de bâtir son avenir.
Si vous voulez que des nations s’unissent, ne cherchez pas à les intégrer comme on intègre des marrons dans une purée de marrons. Il faut respecter leur personnalité. Il faut les rapprocher, leur apprendre à vivre ensemble, amener leurs gouvernants légitimes à se concerter, et, un jour, à se confédérer, c’est-à-dire à mettre en commun certaines compétences, tout en restant indépendants pour tout le reste. C’EST COMME ÇA QU’ON FERA L’EUROPE. ON NE FERA PAS AUTREMENT.
« LA QUATRIÈME IDÉE, c’est que cette Europe-là prendra naissance le jour où ses peuples, DANS LEURS PROFONDEURS, décideront d’y adhérer. Il ne suffira pas que des parlementaires votent une ratification. Il faudra des référendums populaires, de préférence le même jour dans tous les pays concernés. »
Droal 12 Mar 2017 à 9:04 at 9 h 04 min l==> Bonjour et merci pour ce rappel. Ce De Gaulle, homme mystérieux s’il en fut, je le ne connaissais pas mais je lui en voulais pour cette saloperie de guerre d’Algérie qui n’avait ni queue ni tête, mais surtout comment peut-on utiliser des appelés de 20 ans donc inexpérimentés, dans une bataille qu’ils ne pouvaient pas comprendre. J’avais moi-même 20 ans, mais depuis tout bébé ma nature fut de poser des questions. Pourquoi ? Comment? A quoi ça sert? . Donc, je posais la question, peut-on donner à de jeunes étudiants qui viennent d’entrer en médecine la pratique d’opérations chirurgicales.. Je voyais très mal le grand Charles, se faire opérer de la prostate par un blondinet de 20 ans en première année de médecine qui ne fait pas encore la différence entre le scalpel et le couteau de cuisine…..
Bref, ce De Gaulle, en règle générale a toujours oeuvré dans l’intérêt de la France…J’ai découvert sa stratégie.
Il était pris entre deux feux et jouait double jeu en essayant de ne jamais se faire découvrir, afin de mieux damer le pion de l’ennemi….
A ce De Gaulle, nous lui devons quand même les trente glorieuses…..
De Gaulle a sûrement commis des erreurs, il est vrai que l’on ne peut pas tout deviner (à l’avance) . Il sera un grand ami de celui qui sera Jean XXII et réussira donc à le faire élire pape… Or ce Jean XXIII appartenait à une cellule du Grand Orient de France. Nous connaissons tous la catastrophe qui en découlera avec le Vatican II. Maintenant, si vous voulez comparer le De Gaulle avec des Sarkozy et des Hollande, il vaut mieux vous accrocher au bastingage…..
J’ai un débat, trop long à mettre ici, justement De Gaulle VS l’islam et les réactions de Nadia sont très constructives.. Je vais voir pour mettre ce débat en ligne sur mon dernier blog qui me reste… Soyez prêts, car les événements s’accélèrent. J’ai re-posté une vidéo qui m’a plu: https://www.youtube.com/watch?v=kuKwuSQhVQA
Pour ceux qui veulent approfondir leur savoir sur ce De Gaulle, quelques détails:
I am French
Quand j’ai lu la biographie de ce bâtard, il était plus que (désireux du “mythe” de l’Algérie française) mieux que Lausanne et l’Alsace, mais le truand a oublié que de Gaulle a été forcé de négocier avec le (FLN), craignant la perte de Toute la France, France entière !
Ce Salaud était Partisan de l’Algérie française, il percevait la séparation d’avec l’Algérie comme « plus grave encore que celle d’avec l’Alsace-Lorraine ».
Rire moqueur et surpris par les goûts de ces idiots de la pensée coloniale stupide
pat thuillier
a 11 ans j ai assite a son execution le -6 fevrier 1963 depuis la cabane de jardin de mo,n père a 5 h.
hommechauvesouris
Merci pour ce document.
Colonel Jean Bastien Thiry présent pour la Patrie.
Repose en paix.
7 Comments
Comments are closed.