Dans le quotidien en détresse, elle écrit :
L’une des idées pour sauver Libération pourrait être d’y inclure des contenus fortement érotiques.
Pour donner raison à Alain Soral qui pense que les journalistes sont aujourd’hui “des chômeurs ou des putes” ? Celle qui a fait de l’argent en narrant ses ébats avec Dominique Strauss Kahn qu’elle traite au passage d’ “être double, mi-homme mi-cochon” et de “porc”, a même une idée : transformer la rédaction de Libé en club échangiste.
Pour le prix d’un abonnement mensuel, le journal pourrait proposer son légendaire siège de la rue Béranger pour que ces malheureux et ces malheureuses se rencontrent et résolvent d’une manière ou d’une autre leurs douleurs – le restaurant devenant une simple couverture ou une délicieuse antichambre.
L’objectif pour Libération et ses lecteurs étant, bien sûr, de
(trouver) son salut par le sexe.
Pourquoi ne pas plutôt tenter les valeurs traditionnelles ou la foi catholique ? En effet, Libération vient de passer derrière La Croix et Le Figaro voit ses ventes progresser…
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