Quand on est propriétaire d’un hôtel quasiment en faillite dans les montagnes norvégiennes, est-ce que la solution ne serait pas de le transformer en centre d’accueil des refugiés pour profiter de subventions bien opportunes ?
C’est le bon plan de Primus, hôtelier peu aimable et pas vraiment ouvert aux autres cultures… Mais voilà, la bonne idée de Primus ne s’avère pas si simple.
Accueillir 50 personnes d’origine diverses, quand il faut compter en plus avec une femme déprimée, une ado rebelle, et des préjugés racistes, ça promet bien des déconvenues mais aussi, des heureuses surprises !
Vous l’aurez compris, c’est du policement correct à la sauce norvégienne!