VIDÉO | La méthode Ménard à Béziers vue par BFM TV

A Béziers, il est devenu une attraction. Depuis six mois, Robert Ménard est le nouveau maire de Béziers, la ville où ce fils de pied-noir a grandi. “Depuis son élection, le journaliste a instauré le coup d’éclat permanent. Omniprésent dans les médias, Robert Ménard cultive son style entre autoritarisme et provocation”, commente BFM TV qui l’a suivi quelques semaines :

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52 Comments

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  • judel , 10 octobre 2014 @ 14 h 55 min

    Acacia……ne soyez pas ridicule et retrograde qui est ce qui boit du carignan maintenant : des vieux en voie de disparition et pas un jeune n’en veut voyez “”le point vins “” et le guide achette des vins …..si le languedoc roussillon ne se reconvertit pas rapidement il est foutu…et pas un parlementaire ne veut soulever la question ….

  • marie france , 10 octobre 2014 @ 15 h 01 min

    non ,les asticots “bouffent ” la cervelle en premier ,mais chez vous ,Bang ils risqueront l’empoisonnement !!

  • maginet , 10 octobre 2014 @ 18 h 37 min

    non je ne risque pas d’en avoir puisque je suis plutôt féminine
    mais je reste polie mais si je le pense tout haut et tout fort***Désolée de ne pas satisfaire votre demande

  • Alex , 11 octobre 2014 @ 4 h 17 min

    Il a raison, il faut apprendre au peuple ce que leurs parents auraient du leur apprendre, on n’est n’est pas en Afrique en France., bravo Ménard continue à les éduquer tes citoyens

  • Alex , 11 octobre 2014 @ 4 h 31 min

    Ceux qui crachent dans le sport sont ceux qui prennent des dopes, je veux bien croire qu’à Béziers beaucoup en prennent mais en ville ça ne ce fait pas.
    Ma grand’mère est tombée sur un “mollard”, fracture de la hanche soins aux frais de la sécu, donc …………………..

  • maginet , 11 octobre 2014 @ 18 h 21 min

    voici les autres mesures, certains vont être ravis

    Béziers. Élu maire de la ville avec le soutien du FN, l’ancien président de Reporters sans frontières multiplie depuis les mesures chocs. Il confie à “Valeurs actuelles” son nouvel objectif : rassembler autour de la même table Marine Le Pen, Nicolas Dupont-Aignan et Philippe de Villiers. Dans l’optique de 2017.
    Un boxeur au moment de monter sur le ring. Comme recroquevillé sur lui-même dans la voiture qui le conduit vers l’immense salle de spectacle où il a convoqué ses plus de 2 000 employés municipaux, des balayeurs aux directeurs, Robert Ménard, le front plissé, relit en silence les quinze pages de son discours. Dans quelques minutes, il le sait, ses propos vont heurter. Dans son entourage, certains craignent des réactions hostiles. La tension est palpable. Lorsqu’il apparaît à la tribune, entouré de deux drapeaux français, le silence se fait immédiatement. Pas même le temps d’un “bonjour” avant de se lancer. « Révolution municipale », « révolution des mentalités », « révolution de l’esprit »… : en tout, le mot “révolution” sera prononcé dix fois. Justifié. Car c’est une vraie révolution, une de plus, que le nouveau maire, élu six mois plus tôt, annonce ce jour-là à l’ensemble du personnel communal…
    « Certains imaginent que pourraient perdurer des habitudes, des facilités, contraires à l’intérêt général […]. Je suis venu leur dire que non ! Ce temps-là est terminé ! Nous avons amorcé une rupture. Nous la mènerons jusqu’au bout. Elle sera totale. » Et de dénoncer, pêle-mêle, les « mauvais agents », « les passe-droits », « les abus », « les infractions », « l’absentéisme », « les certificats de complaisance » contre lesquels il entend saisir « l’ordre des médecins »… Puis d’annoncer toute une série de mesures, tout aussi chocs, parmi lesquelles la hausse du temps de travail, la suppression des directeurs de pôles, le non-remplacement des départs à la retraite, la polyvalence obligatoire des agents d’un service à l’autre, la signature de « contrats d’objectifs » par « tous les directeurs »… Supprimés, également, les promotions automatiques et la prime dite de “présentéisme” (sic).
    Ne subsistera qu’« un seul critère : le mérite ». Sa « révolution » est scandée jusqu’à la conclusion : « Dans l’honneur et le travail, nous ferons cette révolution. Vive Béziers ! »
    Puis, sans attendre, il tourne les talons. La salle reste figée. Aucun sifflet, aucun applaudissement. Mais, à la sortie, les réactions sont souvent favorables. Le Midi libre s’en fera l’écho, le lendemain : « C’est certain qu’il y a des abus et des gens qui se sont installés dans des pratiques pas acceptables, témoigne un fonctionnaire municipal. Après, pour remettre tout le monde au pli, il y a du travail… »
    C’est avec la même méthode, « franche et virile », comme il la décrit, que le fondateur de Reporters sans frontière, 61 ans, a conquis “sa” ville, il y a six mois. Né à Oran dans une famille pied-noir installée en Algérie depuis 1850, le petit Robert a une dizaine d’années lorsque ses parents rapatriés s’installent à Brusque, dans l’Aveyron, puis dans le quartier pauvre de la Devèze, à Béziers. C’est là qu’il fait ses études, exerce « dix métiers », puis devient journaliste à Radio France Hérault. Même “monté” à Paris, il y a toujours conservé une maison. Sa mère n’a cessé d’y habiter. Jamais, pourtant, il n’avait envisagé de concourir pour la mairie. Le “déclic” se produit il y a deux ans. « Je me promenais dans la ville avec ma femme en déplorant son état d’abandon. Elle m’a dit : “Pourquoi tu ne te présentes pas ? ”

  • lepitt , 11 octobre 2014 @ 18 h 52 min

    Et vous, vous n’avez rien compris à mon commentaire…

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