Vous avez totalement raison, j’allais l’écrire mais 2 fois c’est inutile. Sur un article similaire, je disais qu’on préfère expulser une chômeuse Française qui a des impayés de loyer et loger des migrants gratuitement. Et après, on s’étonne de la montée du FN.
Rassurez vous en France, c’est la même chose mais les médias n’ont pas les coui….pour le dénoncer. Vous verrez en décembre aux régionales si le FN et Debout La France ne vont pas augmenter leur pourcentage
richard b , 10 septembre 2015 @ 9 h 58 min
Vous n’avez pas compris qu’ils veulent de la main d’œuvre bon marché, ceux qui ne trouveront pas de boulot, ils pas de soucis à se faire, les alloc logement gratuit, c’est pas beau ça!!!! il y a encore une bande d’abrutis qui croient à ces balivernes, parce que ils ont vu un gamin échoué sur la plage, et nos enfants qui meurent chaque jour chez nous on n’en parle pas, ça ne fait pas le buzz…
Marino , 10 septembre 2015 @ 20 h 22 min
La vague de migrants grossit encore tandis que l’Europe étale ses divisions
Les Européens ont étalé jeudi leurs divisions sur la crise des migrants, plusieurs pays s’opposant frontalement à la politique prônée par Berlin pour accueillir avec « générosité » la vague de réfugiés qui continue de grossir sur les routes d’Europe.
Au lendemain d’un appel vibrant du président de la Commission européenne Jean-Claude Juncker à l’ »audace » et à « l’humanité » des Européens, les signes de tension se sont au contraire multipliés, en Hongrie, en Roumanie et en Slovaquie, mais aussi au Danemark et en Autriche.
[…]
Dans son refus de la politique d’accueil souhaitée par Angela Merkel, à laquelle la France s’est finalement ralliée, la Hongrie a été rejointe par plusieurs pays voisins.
Le président roumain Klaus Iohannis s’est publiquement opposé au système de quotas proposé par M. Juncker pour répartir dès la semaine prochaine 160.000 réfugiés déjà présents sur le sol européen.
« Nous ne considérons pas que c’est une solution ou que c’est opportun de parler de quotas obligatoires, calculés de manière très bureaucratique », a-t-il prévenu.
Le Premier ministre slovaque Robert Fico est du même avis: « Lorsque l’Allemagne ou la France disent quelque chose nous ne devons pas nous prosterner et répéter la même chose », a-t-il dit.
Signe de la tension grandissante avec Berlin, une rencontre est prévue vendredi à Prague entre les chefs de la diplomatie du groupe de Visegrad (Pologne, République Tchèque, Slovaquie et Hongrie) et leurs homologues allemand et luxembourgeois, dont le pays assure la présidence tournante de l’UE.
Mais ils ne sont pas les seuls à manifester leur désaccord: le Danemark essaye de freiner, en bloquant des trains, l’arrivée de nouveaux migrants en transit vers la Suède…
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