Un fainéant de cheminot se ridiculise en direct

125 Comments

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  olivier , 11 septembre 2013 @ 19 h 17 min

  Une seule solution : le peloton d’exécution…
  mais on vous attend.
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  Câlinou , 11 septembre 2013 @ 23 h 54 min

  Doseikekkon, 10/9 à 1 h 57,
  6 mois de vacances !
  Non, calculées à la louche c’est 15 ou 16 semaines
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  Dōseikekkon , 12 septembre 2013 @ 1 h 57 min

  Juste une rodomontade de plus de sa part ; la même idée avait été proposée aussi par Ségolène Royal.
  Je ne pense pas que les enseignants n’y aient vu que des inconvénients et je doute que tous aient protesté.
  Car l’avantage pour eux aurait été de passer 35 h contractuelles sur place, avec cette contrepartie appréciable que – une fois hors de l’établissement – fini le travail ! Comme n’importe quel salarié au fond. Pas de copies à corriger à domicile, plus de cours à préparer chez soi si tout le temps de travail se passe dans l’établissement.
  Si cela ne s’est pas fait c’est surtout pour une bonne raison à laquelle on pense peu : les établissements, tels qu’ils sont construits actuellement, ne sont pas conçus pour accueillir l’ensemble des profs ; ceux qui ont cours se trouvent dans une salle avec leurs élèves bien sûr, et seule une petite partie des autres vaque dans l’établissement. Si on voulait que tous les profs soient en permanence sur place, il faudrait leur fournir des bureaux et du matériel.
  Or – et c’est tout bénéfice pour les collectivités et l’État – les profs travaillent chez eux, avec la documentation qu’ils se sont achetée (bouquins, etc.), avec les ordinateurs qu’ils se sont eux-mêmes payés, et utilisent une partie de leur lieu d’habitation comme espace de travail (forcément plus grand – et plus coûteux –que s’ils effectuaient tout leur boulot à l’extérieur).
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  Pierre ghi , 12 septembre 2013 @ 6 h 05 min

  Jacqueline, les parents ont été priés de se mettre en retrait par l’école, les valeurs familiales ne sont pas bienvenues en classe. C’est un peu facile après des générations d’enseignants qui ont demandé aux parents de considérer l’école comme un sanctuaire de leur reprocher d’être hors jeu. Les parents qui auraient des critiques à partager ne sont pas les bienvenus parmi les enseignants. Pour ma part, je maintiens que les enseignants manquent de courage et participent au grand remplacement et à l’effacement de la transmission.
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  Pierre ghi , 12 septembre 2013 @ 6 h 14 min

  Olivier, savez-vous que les enfants en souffrance en classe sont les enfants bien élevés dont les repères moraux, la conscience est moquée, rabaissée au nom de l’évolution des mœurs, de l’anti racisme etc… Qu’est-ce qu’être- “bien élevé” pour un enseignant ? Combien de familles monoparentales, dont souvent des mères, sont soumis à des conditions d’emploi sans horaire fixes etc… Qui les soutient ?
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  charles-de , 12 septembre 2013 @ 9 h 49 min

  Moyenne qui, comme beaucoup de moyennes, ne veut pas dire grand chose !
  Ce salaire concerne-t-il les Capétiens, les Agrégés, les auxiliaires ???
  La moyenne de l’OCDE signifie encore moins !
  Si l’on comparait les poids des mammifères, on pourrait par exemple ajouter les poids d’un éléphant, d’une baleine, d’un bœuf, d’un chat et d’une souris, puis diviser par 5.
  Ca nous donnerait quelles indications ???
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  charles-de , 12 septembre 2013 @ 9 h 58 min

  Ohayô gozaimasu !
  Là, je suis tout à fait d’accord avec vous ! Il y a une grande partie de travail à domicile pour les profs.
  Dans beaucoup de métiers, il y a ce que les autres voient, et ce qui est réellement fait : pour un comédien qui tourne un film par an, dira-t-on qu’il n’a travaillé que 2 heures ? Un pilote d’avion n’a-t-il pas préparé son plan de vol ? Un écrivain n’a-t-il travaillé que le temps de taper son texte ?
  Etc etc

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