Au début du mois de mai, des identitaires de toute l’Europe ont mené une opération à Catane en Sicile, baptisée DEFEND EUROPE. Elle marque le début d’une campagne qui aura lieu cet été et aura pour but de confronter les ONG actives en mer Méditerranée pour soi-disant y sauver des « migrants ». Évidemment, des opérations de pression ont été mises en place par tout ce que nos pays comptent de bonnes consciences. En les accusant de vouloir causer des morts en mer, ils ont tenté de salir les militants de Génération Identitaire et sont même parvenus à faire geler le compte PayPal utilisé pour récolter des fonds en soutien à l’opération.
Or, ce sont les ONG qui mènent des activités illégales en collaborant avec les mafias des passeurs, comme l’ont révélé de récents articles. Pire, le New York Times a récemment mis en lumière le fait que l’activité des ONG renforçait le danger pour les « migrants » qui tentaient la traversée.
Comme l’illustre la carte ci-dessous, les ONG se rapprochent d’année en année des côtes libyennes pour y récupérer des « migrants ». Selon Frontex, l’agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes : « Les migrants et les réfugiés – encouragés par les histoires de ceux qui ont réussi la traversée – tentent des traversées dangereuses depuis qu’ils sont au courant de cette pratique et comptent sur l’assistance humanitaire pour être amenés en Europe. »
En clair, l’activité des ONG crée un appel d’air qui pousse des « migrants » toujours plus nombreux à tenter la traversée sur des embarcations de plus en plus précaires. Inévitablement, le nombre de morts en mer augmente.
La générosité affichée et l’humanisme en bandoulière des ONG ne suffisent plus à masquer les conséquences criminelles de leurs actions. En Australie, une politique ferme en matière d’immigration a permis de mettre fin aux morts en mer. Entre 2006 et 2013, lorsque la gauche était au pouvoir, plus de 50 000 personnes ont tenté la traversée, ce qui a coûté la vie à 1 200 d’entre elles. Depuis la prise du pouvoir par le conservateur Tony Abbott et la mise en place de l’opération Cet exemple montre que non seulement cette politique est réaliste mais également humanitaire. Certes, le rêve des ONG de rendre l’Europe encore plus multiethnique et plus multiculturelle devra être abandonné, mais c’est à ce prix que des vies seront sauvées en mer. Nul doute que si elles sont sincèrement humanistes, elles finiront par le comprendre.
Nous, nous l’avons bien compris et nous mènerons campagne pour que cessent les activités criminelles des ONG en Méditerranée.
La mission commencera à la mi-juillet et aura pour objectif de montrer au monde entier le vrai visage des ONG soi-disant humanitaires, leur collaboration avec les mafias de passeurs et les conséquences meurtrières de leur action en mer. À terme, nous voulons qu’à la façon des Australiens avec le politique du NO WAY, les garde-côtes européens refoulent systématiquement les bateaux de « migrants ».
Cette politique a permis au gouvernement australien en très peu de temps d’amener le nombre de décès en mer à zéro alors que les années avant sa mise en place 1 200 personnes avaient péri en tentant de rejoindre les côtes australiennes.
Sur cette carte issue d’un article du New York Times, on constate que les navires des ONG se rapprochent chaque année des eaux territoriales libyennes. Cela a pour conséquence d’inciter toujours plus de « migrants » à tenter leur chance sur des embarcations de moins en moins sûres. Inévitablement, le nombre de morts en mer augmente.
Cette pratique allonge aussi le temps nécessaire à leur transport jusqu’en Europe, un temps qui serait bien moindre s’ils étaient déposés en Afrique, un temps perdu qui aurait pu servir à sauver d’autres vies, mais cela ne semble pas être la priorité des ONG.
Lors de notre mission, lorsque nous croiseront une embarcation remplie de clandestins, nous appellerons les garde-côtes libyens pour qu’ils puissent les secourir tout en veillant à leur sécurité le temps de leur prise en charge. À la suite de leur évacuation en direction de l’Afrique, nous coulerons systématiquement ces embarcations afin qu’elles ne soient pas réemployées comme c’est le cas d’habitude.
Grâce à notre première levée de fonds, nous avons pu payer la location de notre bateau qui fait déjà route vers la Méditerranée, mais comme vous l’imaginez les frais nécessaires à la réussite de cette mission sont conséquents.
Plus votre soutien sera important, plus cette mission pourra durer longtemps et plus elle sera efficace. Plus elle sera efficace, plus elle aura de chance d’être reconduite l’an prochain et autant d’années que nécessaire.
Vous pouvez soutenir la mission DEFEND EUROPE en cliquant sur ce lien.