Prénoms ayant le mieux réussi au Bac 2016 : ni Aïcha, ni Mohamed!

Profitez-en, m’est avis que ce genre de statistiques va disparaître très très vite… Stigmatisantes pour les pauvres musulmans, victimes, forcément, des ghettos, du racisme des profs et des examinateurs, de la pauvreté… Je me réjouis déjà des cris d’orfraie que nous allons lire ici et là… Ça confirme que l’islam est un handicap pour tout être normalement constitué. Hélas pour eux, hélas pour nous.
En effet, l’islam impose partout et toujours la soumission à la parole du prophète et mes des obligations et interdits partout. Assortis de violence qui plus est, favorisant des réflexes pavloviens de peur dès qu’on « faute » selon le coran.

Comment, dans ces conditions, développer l’esprit critique, la capacité d’inventer, de prendre du recul, d’aller à la recherche, spontanément, de réponse aux questions que l’on se pose ?
Ceci explique sans doute l’incroyable absence de prix Nobel, de démocratie, d’inventions… dans les pays musulmans. Sans compter en plus qu’ils se privent de l’apport inestimable de la moitié de l’humanité, les femmes, réduites à être des ventres et des objets sexuels.
Reste que ces listes de prénom sont fort intéressantes par ailleurs, on y reviendra peut-être ! Ne serait-ce que pour savourer le fait qu’une petite, toute petite élite, passe encore à travers les mailles du filet abêtissant de l’école belkacinienne.

Connaissez-vous une « Astrid »? Il s’agit du prénom ayant le plus réussi au Bac 2016. A travers une enquête menée par digiSchool, retrouvez le classement original des prénoms ayant obtenu le meilleur taux de réussite au Bac 2016.

Les filles ont mieux réussi que les garçons
Une majorité de bachelières, soit 84,86%, affiche un taux de réussite au Bac 2016, sur un taux de réussite global de 82,65%. Les trois prénoms ayant le plus réussi l’examen ultime du lycée sont Astrid, Malo et Adèle. Malo est par ailleurs le seul prénom masculin du Top 15. Parmi les excellents élèves, on note que les « Ariane » sont celles qui ont le plus obtenu de mention « Très bien » au Bac 2016. S’ensuivent Clotilde, Iris, Diane et Esther.

Et l’année prochaine? Concernant l’avenir des bacheliers 2016, les domaines d’études souhaités correspondent plutôt bien aux filières des (anciens) élèves:
– Pour les bacheliers en S, le secteur de la santé, médical et pharmacie intéresse plus de 25% des bacheliers
– Pour les bacheliers en ES, le secteur du commerce et du management intéresse plus de 25% des bacheliers
– Pour les bacheliers en L, le secteur des lettres et des langues intéresse plus de 34% des bacheliers.

Voir l’ensemble des statistiques.

Lu sur Résistance républicaine

Emilie Laurent, première bachelière de France, témoigne du harcèlement scolaire dont elle a été victime.

La dernière campagne gouvernementale en 2015 contre le harcèlement scolaire évoquait le nombre de 700.600 enfants, de l’école au lycée, victimes de harcèlement. Emilie Laurent en faisait partie. Aujourd’hui première bachelière de France, la jeune fille au regard lumineux témoigne de ce qu’elle a enduré. Sa note de 21,22/20 décrochée au baccalauréat la propulse au rang de « meilleure bachelière » de France mais Emilie n’en tire aucune revanche. Sereine, dotée d’une maturité exemplaire, Emilie regarde vers l’avenir mais elle souhaite aussi témoigner pour peut-être aider ceux qui traversent aujourd’hui ce qu’elle a vécu.

Paris Match. Dans ton précédent lycée, tu expliques avoir été harcelée ?
En première, j’ai dû arrêter les cours, en janvier. La crise est arrivée du jour au lendemain. Je n’ai pas réagi au début parce que je pensais que la seule responsable du problème c’était moi. Je me disais « c’est toi qui fait mal les choses ». Je suis du genre à douter de moi-même.
Je me faisais harceler à la fois par des personnes moins bonnes que moi, mais aussi par des gens qui étaient très doués. Je suis devenue une sorte de cible pour la classe. Des professeurs étaient aussi concernés mais je n’en dirais pas plus. Mon père est professeur. Je faisais confiance au corps enseignant. Du côté des élèves, on me faisait constamment comprendre que j’étais nulle, on se moquait de moi. J’avais des bonnes notes mais je ne souhaitais surpasser personne. Je voulais simplement faire de mon mieux, donner le meilleur de moi-même, c’est dans ma nature. J’étais même gênée ensuite quand des camarades à côté de moi avaient des notes plutôt moyennes, parce que je ne voulais pas qu’ils se sentent humiliés à cause de moi. Je n’ai jamais compris. Je ne suis retournée au lycée qu’en septembre de l’année d’après. Je n’ai pas travaillé pendant ces six mois de pause. Enfin, j’ai travaillé sur moi. Ma famille m’a soutenue du début à la fin.

Comment ça s’est passé au moment de retourner sur les bancs de l’école ?
J’étais très angoissée. Je suis donc retournée en première pour la deuxième fois. J’avais peur que ça se reproduise, de faire quelque chose qui pourrait déclencher à nouveau cette situation. Mais cette fois-ci, je suis tombée sur un professeur principal qui m’a énormément soutenue. Je lui avais parlé en détail des problèmes que j’avais rencontrés. Il en a ensuite parlé aux autres enseignants. Il vérifiait régulièrement que tout allait bien. Le directeur d’établissement a également été très compréhensif. La nouvelle équipe enseignante a été attentive. Je leur suis très reconnaissante.
Les autres élèves ont aussi fini par être curieux. Ils se demandaient comment je pouvais avoir un an de retard alors que j’avais d’aussi bonnes notes. J’ai fini par leur dire ce que j’avais vécu. Finalement, la parole libère. Et ils m’ont également soutenue. Ils voyaient enfin en moi une personne, et ils restaient avec moi pour qui j’étais.

Qu’est-ce que tu aimerais dire aux jeunes victimes de harcèlement ?
D’abord qu’il faut en parler. A des personnes de confiance, que ce soit des amis, de la famille ou des professeurs, si l’on peut. Il faut en parler très vite, même si c’est dur. En fait, il ne faut surtout pas négliger ce que l’on ressent. Une souffrance est une souffrance, il ne faut pas la minimiser. Si c’est trop violent, pour se réparer, il ne faut surtout pas hésiter à prendre une pause. Une année de perdue ce n’est rien face à une vie gâchée. Aux autres élèves, je dirais de rester attentifs. Et d’avoir de petites attentions pour celui qui est en marge dans une classe. Un geste gentil compte parfois beaucoup pour un élève harcelé. Il faut garder à l’esprit que n’importe qui peut être concerné.

Aujourd’hui, juin 2016, tu es la première bachelière de France, tu t’attendais à un tel résultat ?
Je doutais des notes en raison de certaines épreuves qui ne s’étaient pas très bien passées. Celle de philosophie par exemple qui était assez ardue. Ou encore celle d’anglais qui était très longue, je n’ai même pas eu le temps de me relire ! De toute façon personne ne s’attend à avoir 21 sur 20 !

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