Selon Yves Contassot, Emmanuelle Cosse, l’épouse de Denis Taupin depuis juin 2015, aurait refusé de parler de harcèlement sexuel lors d’un conseil national EELV.
La direction d’Europe Ecologie-Les Verts était-elle au courant des agissements de Denis Baupin, accusé d’avoir harcelé, voire agressé sexuellement, des élues et des collaboratrices du parti ? Selon Yves Contassot, la question se pose plus que jamais. Le conseiller de Paris, membre d’EELV, raconte ainsi une anecdote survenue il y a « à peu près un an », lors d’un conseil national du parti, qui indiquerait qu’Emmanuelle Cosse, alors secrétaire générale d’EELV et épouse de Denis Baupin, aurait tenté d’étouffer l’affaire.
Selon Yves Contassot, Emmanuelle Cosse aurait refusé de parler de harcèlement sexuel lors d’un conseil national EELV.
La direction d’Europe Ecologie-Les Verts était-elle au courant des agissements de Denis Baupin, accusé d’avoir harcelé, voire agressé sexuellement, des élues et des collaboratrices du parti ? Selon Yves Contassot, la question se pose plus que jamais. Le conseiller de Paris, membre d’EELV, raconte ainsi une anecdote survenue il y a « à peu près un an », lors d’un conseil national du parti, qui indiquerait qu’Emmanuelle Cosse, alors secrétaire générale d’EELV et épouse de Denis Baupin, aurait tenté d’étouffer l’affaire.
« Maintenant, ça suffit ». « La présidente de la commission féministe a dit qu’elle avait eu des témoignages de harcèlements sexuels, et même de viols, de la part d’adhérentes et de militantes », se souvient Yves Contassot au micro d’Europe 1. Ces femmes « se plaignaient que d’autres adhérents et militants aient eu ce type de comportements ». Selon le conseiller de Paris, ces révélations ont créé « un choc énorme » au sein du conseil national. « Le débat a commencé à s’instaurer », avant qu’Emmanuelle Cosse n’intervienne. « Elle est montée à la tribune pour dire : ‘Maintenant ça suffit, on passe à autre chose, on arrête là cette discussion.’ »
« Maintenant, ça suffit ». « La présidente de la commission féministe a dit qu’elle avait eu des témoignages de harcèlements sexuels, et même de viols, de la part d’adhérentes et de militantes », se souvient Yves Contassot au micro d’Europe 1. Ces femmes « se plaignaient que d’autres adhérents et militants aient eu ce type de comportements ». Selon le conseiller de Paris, ces révélations ont créé « un choc énorme » au sein du conseil national. « Le débat a commencé à s’instaurer », avant qu’Emmanuelle Cosse n’intervienne. « Elle est montée à la tribune pour dire : ‘Maintenant ça suffit, on passe à autre chose, on arrête là cette discussion.’ »