Le CHU de Reims vient de se prononcer pour l’arrêt des traitements de Vincent Lambert, à l’issue d’une procédure collégiale qui a duré cinq mois. Jean-Marie Le Méné de la fondation Lejeune précise que si cette procédure est collégiale, la décision d’arrêter les traitements revient, in fine, à une personne, en l’occurrence au docteur Vincent Sanchez. Ainsi, une seule personne décide seule de la vie ou de la mort d’un patient. Pour Jean-Marie Le Méné, l’arrêt des traitements doit être appelé par son nom : il s’agit d’une euthanasie.