Les associations dites antiracistes multipliaient déjà, depuis vingt ans, les procès inquisiteurs contre quiconque osait critiquer l’islamisation de la France. Pourtant, Manuel Valls, alors premier ministre, a cru bon, suite aux attentats de Charlie Hebdo, d’ajouter au dispositif répressif permis par la loi Pleven une nouvelle structure, la Dilcra : Délégation interministérielle de lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Cet organisme, doté d’un très gros budget, salarie à plein temps des militants de la mouvance socialiste, dont l’ancienne présidente de SOS Racisme, Cindy Léony.
Valls a promu à la tête de ce nouvel organisme un de ses fidèles, Gilles Clavreul (qui a appelé à voter pour lui à la primaire socialiste). Ce préfet socialiste a clairement annoncé son programme dans cette vidéo de 2 minutes, qu’il faut regarder jusqu’au bout :
Il a même déposé plainte nominativement contre Pierre Cassen, lui réclamant 30.000 euros de dommages et intérêts pour un article paru dans Riposte laïque dont il lui attribue, bien que les faits démontrent le contraire, la responsabilité. Il vient de franchir une nouvelle étape en faisant déréférencer par Google le site du nationaliste breton Boris Le Lay (qui l’avait épinglé sévèrement à cause de ses discours liberticides), après avoir obtenu, par des juges soumis à la dictature de l’islamiquement correct, sa fermeture, avec lourde astreinte financière en cas de non-exécution. Sauf erreur de notre part, Boris Le Lay n’avait fait ni l’apologie de la pédophilie ni celle du terrorisme… Clavreul viole donc délibérément les lois de notre pays pour imposer sa vision du monde et anéantir les vrais libres penseurs.
Ces décisions de fermeture et de déréférencement imposé à Google sont les préludes d’une chasse aux sorcières digne d’un néo-MacCarthysme ou des pires dictatures staliniennes. Après Google, ce seront Youtube, Facebook et Twitter qui seront sommés de cesser d’héberger les lanceurs d’alerte. Et après Boris Le Lay, ce seront tous les sites de réinformation, que les inquisiteurs comme Clavreul appellent la fachosphère, qui seront fermés et déréférencés, pour le plus grand bonheur des médias de propagande.
Rappelons que Christophe Barbier en personne appelait les élus à régler le problème de la presse Internet en s’appuyant sur les méthodes de la dictature chinoise. Avec Gilles Clavreul, qui multiplie les signalements-dénonciations, il paraît avoir été entendu.
Nos associations avaient participé, avec le Cercle des avocats libres, le 14 février dernier, à une initiative demandant l’abrogation de la loi Pleven. Les agissements de Clavreul et des siens rendent plus nécessaire que jamais une telle décision, de même que la dissolution de la Dilcra, qui n’a d’autre utilité que de traquer les patriotes qui refusent l’invasion migratoire et l’islamisation de leur pays.
Elles sont à nouveau disponibles pour participer, dans un esprit rassembleur, à toute initiative permettant aux amoureux de la liberté d’expression de contrecarrer efficacement les sales méthodes des commissaires politiques socialistes.
Dans un contexte où Valls vient de rejoindre Macron, agent du mondialisme, de l’immigration sauvage et de l’islamisation de la France, nous alertons tous les Français amoureux de la liberté d’expression sur la nuisance que pourrait provoquer Clavreul et les siens, si l’ancien ministre des Finances devenait président de la République.
Pour mettre hors d’état de nuire Clavreul, il faut donc d’abord battre Macron, et dissoudre la Dilcra !
Riposte et Résistance républicaine